Si vous commencez tout juste à apprendre le japonais, il y a de fortes chances qu’on vous présente les hiragana et le tableau des hiragana dès le premier jour. Ce système d’écriture japonais constitue l’un des fondements de la langue. Mais qu’est-ce que les hiragana exactement, et pourquoi sont-ils si importants ?
Dans cet article, vous trouverez un tableau des hiragana en PDF à télécharger gratuitement, idéal pour les débutants, ainsi que des fiches d’exercices pour vous aider à mémoriser chaque caractère. En bonus, nous avons également inclus des liens vers certaines des meilleures applications pour apprendre le japonais, afin que vous puissiez continuer à pratiquer où que vous soyez.
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Qu’est-ce que les hiragana ?
Les hiragana, écrits ひらがな, constituent l’un des trois systèmes d’écriture japonais, aux côtés des katakana et des kanji.
Il existe 46 caractères hiragana de base, connus pour leurs traits souples, arrondis et fluides. Ces caractères sont utilisés dans l’écriture japonaise quotidienne et sont essentiels pour lire et écrire en japonais.
Vous débutez votre apprentissage du japonais ? Consultez notre article principal sur le système d’écriture japonais pour un guide complet sur les katakana, hiragana et kanji.
Tableau d’entraînement aux hiragana
Téléchargez gratuitement notre tableau des hiragana
Si vous préférez apprendre le japonais de manière traditionnelle, notre tableau des hiragana et nos fiches d’exercices à imprimer sont parfaits pour vous ! Vous trouverez ci-dessous notre tableau des hiragana le plus populaire.
Il vous suffit de cliquer sur le lien pour l’ouvrir dans un nouvel onglet, où vous pourrez facilement l’imprimer et commencer à vous entraîner où et quand vous le souhaitez !
Dans ce blog, nous partageons nos propres fiches PDF pour apprendre les hiragana, ainsi que des liens vers des applications populaires pour apprendre le japonais. Vous débutez votre apprentissage ? Consultez notre article principal sur le système d’écriture japonais pour un guide complet !
Téléchargez gratuitement la fiche d’exercices hiragana
Prêt(e) à vous entraîner à écrire les hiragana ? Une fois les caractères mémorisés, téléchargez notre fiche d’exercices gratuite conçue spécialement pour les débutants.
Comment utiliser les fiches d’exercices :
Imprimez les fiches ou complétez-les directement sur votre ordinateur.
Dans la première section, reliez les caractères hiragana à leur son correspondant.
Dans la deuxième section, entraînez-vous à écrire chaque caractère pour renforcer votre mémoire et améliorer votre écriture.
Nous avons aussi combiné le tableau des hiragana et la fiche d’exercices ! Vous pouvez les télécharger en mode lecture et les imprimer pour obtenir une version papier.
Contrairement à l’alphabet de l’anglais ou d’autres langues, où un groupe de lettres représente un son, chaque caractère hiragana représente une syllabe complète, comme « ka », « no » ou « mu ». C’est pour cela que l’on parle de syllabaire et non d’alphabet.
À la base des hiragana, on trouve les cinq voyelles fondamentales du japonais : /a/, /i/, /u/, /e/ et /o/. Ces voyelles simples et régulières constituent le fondement pour lire toutes les autres combinaisons hiragana.
Hiragana
Romaji (alphabet latin)
Son
あ
a
comme le a dans maman
い
i
comme le i dans ski ou lit
う
u
comme le ou dans fou ou bonjour
え
e
comme le é dans été ou école
お
o
comme le o dans eau ou mot (sans diphtongue)
Cela peut sembler peu comparé à l’anglais, qui a entre 12 et 14 voyelles (en comptant les diphtongues — deux voyelles combinées dans une même syllabe).
Bien que les voyelles japonaises soient plus stables et uniformes, certaines variations existent, notamment pour les sons /a/, /e/ et /o/. Par exemple, le japonais utilise ce qu’on appelle les voyelles longues (長音・ちょうおん), qui consistent à allonger la durée de la voyelle, comme si elle était prononcée deux fois plus longtemps.
Mais pour le moment, restons concentrés sur les bases : le niveau débutant en hiragana pour apprendre à lire et écrire le japonais !
À quoi sert le hiragana ?
Maintenant que vous savez ce que sont les hiragana, vous vous demandez sûrement : comment sont-ils utilisés dans la langue japonaise ? La réponse est simple : partout !
Le hiragana est indispensable pour lire, écrire et comprendre le japonais, et fonctionne en complément des kanji et des katakana pour former l’ensemble du système d’écriture.
Voici comment le hiragana est couramment utilisé :
1. Les particules grammaticales
Les hiragana servent à écrire les petites particules grammaticales qui indiquent la fonction des mots dans la phrase. Les particules de base incluent :
は (wa) : marqueur du sujet/thème
を (o) : indique le complément d’objet direct
に (ni) : indique la direction, le temps, la position, etc.
Ce sont des caractères hiragana qui suivent un kanji pour compléter la conjugaison d’un verbe ou d’un adjectif. Le kanji exprime la racine du mot, tandis que le hiragana indique le temps, la forme ou le niveau de politesse.
Tous les mots japonais n’ont pas de kanji associé. De nombreux mots simples ou utilisés dans les livres pour enfants sont écrits uniquement en hiragana.
Exemples :
よく (yoku) : souvent
さようなら (sayounara) : au revoir
4. Les furigana (guides de prononciation)
Les hiragana sont souvent utilisés pour aider à lire les kanji, notamment quand ceux-ci sont difficiles ou peu connus. On les appelle furigana : ce sont de petits hiragana écrits au-dessus ou à côté d’un kanji pour en indiquer la prononciation.
Les furigana sont très fréquents dans les mangas, manuels scolaires, ou les livres destinés aux enfants et aux apprenants en japonais.
Faut-il apprendre les hiragana ou les katakana en premier ?
Entre les hiragana et les katakana, il est préférable de commencer par les hiragana, car ils constituent la base du système d’écriture japonais. Les hiragana sont utilisés pour les mots japonais d’origine, les particules grammaticales et les terminaisons verbales, ce qui en fait un élément essentiel pour lire et écrire le japonais au quotidien.
La plupart des cours et manuels pour débutants commencent par les hiragana afin de développer des compétences de base en lecture. Les katakana, quant à eux, sont principalement utilisés pour les mots étrangers, les onomatopées ou pour mettre un mot en valeur. On les apprend généralement après avoir maîtrisé les hiragana.
En apprenant d’abord le tableau des hiragana, vous poserez des bases solides qui faciliteront l’apprentissage des katakana par la suite.
Prêt·e à apprendre les katakana ? Consultez notre article pour télécharger gratuitement notre tableau, à imprimer ou à conserver sur votre téléphone !
Certaines personnes parviennent à apprendre les hiragana en une journée, mais pour la plupart, il faut de la pratique régulière. Voici quelques conseils efficaces pour vous aider à les maîtriser :
Familiarisez-vous avec tous les hiragana
Commencez par mémoriser les 46 hiragana de base. Concentrez-vous d’abord sur leur forme et leur son avant de passer à une étude plus approfondie.
Entraînez-vous à écrire à la main
Même s’il est facile d’écrire en japonais avec un clavier, l’écriture manuscrite vous aide à développer la mémoire musculaire et à assimiler l’ordre des traits. Par exemple, vous pouvez apprendre 5 kana par jour et les écrire 20 fois chacun. Cette répétition est l’un des moyens les plus efficaces de retenir ce que vous apprenez.
Utilisez des flashcards (comme Anki)
Les flashcards permettent de faire travailler la mémoire active. Des applications comme Anki sont très utiles car elles utilisent la répétition espacée, une méthode qui vous montre les cartes juste avant que vous ne soyez sur le point de les oublier.
Applications pour apprendre les hiragana
Si vous débutez l’apprentissage des hiragana, vous pouvez trouver plus pratique d’utiliser une application mobile, en complément du tableau de hiragana.
Les applis sont pratiques à utiliser partout, mais nous vous conseillons aussi de prendre le temps d’écrire à la main, car cela ancrera plus profondément les caractères dans votre mémoire.
Voici quelques applications ludiques et efficaces que nous recommandons :
Il s’agit de deux applications distinctes. Chaque kana est associé à une image et à une histoire courte pour vous aider à le retenir plus facilement. Cette méthode mnémotechnique est bien plus efficace que la simple mémorisation.
Cette appli propose une interface très agréable. Sa version gratuite permet de s’entraîner sur les hiragana et katakana comme si vous étiez en train de jouer à un mini-jeu éducatif.
Prêt·e à commencer votre apprentissage du japonais ?
JVous venez de débuter en japonais ? Une fois les hiragana maîtrisés, les prochaines étapes sont l’apprentissage des katakana, des phrases de base et de la construction de phrases simples. Mais apprendre le japonais ne doit pas être un fardeau !
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L’hiragana est un système d’écriture fondamental en japonais. Il est utilisé pour écrire les phrases, les particules grammaticales (comme は, が, を), ainsi que certaines parties de mots. Il sert aussi à écrire les mots qui n’ont pas de kanji ou à indiquer la prononciation des kanji via les furigana (petits hiragana placés au-dessus des kanji).
Combien y a-t-il de caractères hiragana ?
Il existe 46 hiragana de base. Certains caractères peuvent changer de son lorsqu’on leur ajoute des marques (゛ou ゜), par exemple : か (ka) devient が (ga), et は (ha) devient ぱ (pa).
Quel est le moyen le plus simple d’apprendre les hiragana ?
Voici quelques méthodes efficaces pour apprendre les hiragana :
Utiliser des moyens mnémotechniques (par exemple, し (shi) ressemble à un visage souriant)
S’exercer à écrire tous les jours
Utiliser des flashcards pour mémoriser
Écouter des chansons sur les hiragana ou utiliser des applications d’apprentissage
Quelle est la différence entre hiragana et katakana ?
Hiragana et katakana représentent les mêmes sons, mais ont des usages différents. L’hiragana est utilisé pour les mots d’origine japonaise et la grammaire, tandis que le katakana sert pour les mots étrangers, les noms et l’emphase. Ils se prononcent pareil mais s’écrivent différemment.
Peut-on tout écrire en hiragana ?
Oui, mais ce n’est pas recommandé. L’écriture japonaise combine hiragana, katakana et kanji. Écrire uniquement en hiragana rend la lecture difficile et peu naturelle.
Quelle est la différence entre hiragana et romaji ?
Le romaji est la transcription du japonais en alphabet latin (utilisé dans les langues occidentales). L’hiragana est un véritable système d’écriture japonais.
Combien de temps faut-il pour apprendre les hiragana ?
En général, il faut entre 1 et 2 semaines pour apprendre les 46 caractères de base avec une pratique quotidienne. Certaines personnes peuvent les mémoriser en un jour, mais être à l’aise en lecture et en écriture demande plus de temps.
Le hiragana, le katakana et le kanji composent le système d’écriture japonais. Lorsque l’on commence à apprendre le japonais, comprendre comment lire et écrire peut sembler accablant. Après tout, c’est un système totalement différent de notre alphabet latin ! Et là, on découvre qu’il existe non pas un, mais trois systèmes d’écriture utilisés simultanément. Comment est-ce possible ?
Pas de panique, ces systèmes sont plus simples qu’il n’y paraît ! Chacun possède des caractéristiques et des usages bien définis. Une fois que vous les comprenez, lire et écrire le japonais devient beaucoup plus accessible.
Nous avons rédigé des articles plus détaillés sur chaque système d’écriture japonais. N’oubliez pas de consulter notre tableau des hiragana téléchargeable ainsi qu’un quiz pour approfondir votre apprentissage avec des ressources complémentaires.
Origines de l’alphabet japonais
Connaissez-vous l’histoire et l’origine des hiragana et katakana ? À l’origine, les Japonais n’avaient pas de système d’écriture. Ce n’est qu’au Ve siècle qu’ils commencèrent à utiliser les kanji, des idéogrammes adoptés depuis la Chine et la Corée. Mais au lieu de s’en servir pour leur sens, ils en ont principalement utilisé la prononciation phonétique. À cette époque, ces caractères étaient appelés manyōgana (万葉仮名).
Cependant, les kanji comportent de nombreux traits et sont assez longs à écrire, comme vous l’avez sûrement remarqué ! En raison de leur complexité, ces idéogrammes ont été progressivement simplifiés pour donner naissance aux alphabets kana : le hiragana et le katakana. Ces systèmes sont appelés syllabaires, car chaque caractère représente un son unique dans la langue japonaise.
D’après les historiens, ce changement aurait été initié par des moines bouddhistes, convaincus que les kanji ne représentaient pas fidèlement la langue japonaise. Selon eux, un alphabet phonétique était plus adapté.
Exemples de transformation
À gauche, vous trouverez le caractère manyōgana d’origine, et à droite ses versions simplifiées en hiragana et katakana.
安 → あ | 阿 → ア (a)
以 → い | 伊 → イ (i)
宇 → う | ウ (u)
衣 → え | 江 → エ (e)
於 → お | オ (o)
Cette transformation aurait eu lieu entre le VIIIᵉ et le IXᵉ siècle.
👉 Le hiragana peut être considéré comme une version calligraphiée et simplifiée des traits de kanji. 👉 Le katakana, quant à lui, est extrait d’un seul élément du kanji d’origine.
Dans certains cas, les hiragana et katakana proviennent de kanji différents, bien qu’ils représentent le même son.
Certains hiragana et katakana ont des formes similaires, comme :
り (hiragana) et リ (katakana)
Tandis que d’autres sont très différents :
あ (hiragana) et ア (katakana)
En règle générale :
Le hiragana a un style plus cursif, avec des courbes douces.
Le katakana est plus anguleux, avec des lignes droites et nettes.
⚠️ À noter : Un même son peut avoir plusieurs hiragana ! En 1900, les deux syllabaires, hiragana et katakana, ont été normalisés, et c’est en 1946 que les règles du système d’écriture japonais ont été officiellement établies.
Système d’écriture japonais #1 : Le hiragana (ひらがな)
Lorsque l’on commence à apprendre le japonais, le hiragana est généralement le premier système d’écriture étudié.
Techniquement, le hiragana est un syllabaire : cela signifie que chaque symbole représente une syllabe entière (comme « ba » ou « to »), et non un son isolé (comme « b » ou « t »).
➡️ En effet, tous les mots japonais sont construits à partir de ces petites unités sonores, donc il n’est pas nécessaire d’écrire des sons individuels comme en français.
Il existe 46 syllabes de base en hiragana, regroupées en lignes par consonnes :
Voyelles seules :
a (あ), i (い), u (う), e (え), o (お)
Ligne K :
ka (か), ki (き), ku (く), ke (け), ko (こ)
Ligne S :
sa (さ), shi (し), su (す), se (せ), so (そ) (Note : le son “si” devient “shi” en japonais)
Ligne T :
ta (た), chi (ち), tsu (つ), te (て), to (と) (Note : “ti” et “tu” deviennent “chi” et “tsu”)
Ligne N :
na (な), ni (に), nu (ぬ), ne (ね), no (の)
Ligne H :
ha (は), hi (ひ), fu (ふ), he (へ), ho (ほ) (Note : “hu” est prononcé “fu”)
Ligne M :
ma (ま), mi (み), mu (む), me (め), mo (も)
Ligne Y :
ya (や), —, yu (ゆ), —, yo (よ) (Il n’y a pas de « yi » ou « ye »)
Ligne R :
ra (ら), ri (り), ru (る), re (れ), ro (ろ)
Sons isolés :
wa (わ), o/wo (を), n (ん) (Le caractère « を » se prononce souvent simplement « o » et « ん » est une syllabe à part entière)
En plus de ces 46 sons de base, il existe 23 syllabes additionnelles, obtenues grâce à l’ajout de marques diacritiques appelées dakuten (゛) ou handakuten (゜).
En voici quelques exemples :
Ligne G :
ga (が), gi (ぎ), gu (ぐ), ge (げ), go (ご)
Ligne Z :
za (ざ), ji (じ), zu (ず), ze (ぜ), zo (ぞ) (“ji” est utilisé à la place de “zi”)
Ligne D :
da (だ), ji (ぢ), zu (づ), de (で), do (ど) (Attention : les sons « ji » et « zu » existent en deux versions différentes, selon leur origine)
Ligne B :
ba (ば), bi (び), bu (ぶ), be (べ), bo (ぼ)
Ligne P (avec le handakuten) :
pa (ぱ), pi (ぴ), pu (ぷ), pe (ぺ), po (ぽ)
Écrire les hiragana
Maintenant que nous avons vu les sons de base, voyons comment ces syllabes s’écrivent en hiragana.
Combinaisons avec や (ya)、ゆ (yu)、よ (yo)
Il est possible de combiner une consonne avec les sons ya, yu ou yo en ajoutant un petit caractère や、ゆ ou よ à une syllabe se terminant par « i ».
Par exemple :
に (ni) + よ → にょ (nyo)
き (ki) + や → きゃ (kya)
し (shi) + ゅ → しゅ (shu)
Les 23 sons additionnels
Comme évoqué précédemment, 23 nouvelles syllabes sont obtenues en ajoutant des marques appelées diacritiques aux hiragana de base.
Voici ces lignes :
Ligne G :
が (ga), ぎ (gi), ぐ (gu), げ (ge), ご (go)
Ligne Z :
ざ (za), じ (ji), ず (zu), ぜ (ze), ぞ (zo)
Ligne D :
だ (da), ぢ (ji), づ (zu), で (de), ど (do) (Note : じ et ぢ se prononcent toutes deux “ji” mais ont des usages différents — même chose pour ず et づ)
Ligne B :
ば (ba), び (bi), ぶ (bu), べ (be), ぼ (bo)
Ligne P :
ぱ (pa), ぴ (pi), ぷ (pu), ぺ (pe), ぽ (po)
Remarqué quelque chose ?
Ces sons sont en fait les mêmes hiragana que ceux des lignes K, S, T, H, etc., auxquels on ajoute un signe diacritique:
Deux petites barres ゛ (appelées dakuten) : elles transforment le son (ex. : ka → ga)
Un petit cercle ゜ (appelé handakuten) : utilisé seulement avec la ligne H pour produire les sons en P (ex. : ha → pa)
Bonne nouvelle : pas besoin d’apprendre de nouveaux symboles — il suffit de reconnaître les modifications avec les diacritiques !
Sons contractés (combinaisons avec や、ゆ、よ)
En japonais, on trouve aussi des sons contractés, qui sont considérés comme une seule syllabe.
Ils s’obtiennent en combinant :
une syllabe en « i »
avec une petite version de や、ゆ ou よ
Voici les principales combinaisons par ligne :
Ligne
Combinaisons
K
きゃ (kya), きゅ (kyu), きょ (kyo)
S
しゃ (sha), しゅ (shu), しょ (sho)
T
ちゃ (cha), ちゅ (chu), ちょ (cho)
N
にゃ (nya), にゅ (nyu), にょ (nyo)
H
ひゃ (hya), ひゅ (hyu), ひょ (hyo)
M
みゃ (mya), みゅ (myu), みょ (myo)
R
りゃ (rya), りゅ (ryu), りょ (ryo)
G
ぎゃ (gya), ぎゅ (gyu), ぎょ (gyo)
Z
じゃ (ja), じゅ (ju), じょ (jo)
B
びゃ (bya), びゅ (byu), びょ (byo)
P
ぴゃ (pya), ぴゅ (pyu), ぴょ (pyo)
⚠️ Attention : certaines syllabes contractées perdent légèrement le son “y” dans leur prononciation.
Comment utiliser les hiragana
Les hiragana sont les véritables couteaux suisses de l’écriture japonaise ! Ils représentent toutes les syllabes de la langue japonaise, ce qui les rend très polyvalents.
Voici dans quels cas les hiragana sont utilisés :
Terminaisons de verbes
Particules grammaticales (は, を, が, に, etc.)
Mots grammaticaux comme les conjonctions (たとえば, そして, でも, etc.)
Mots d’origine japonaise sans kanji attribué
Mots rares ou peu courants, pour lesquels les kanji ne sont pas utilisés
Furigana : hiragana placés au-dessus d’un kanji pour en indiquer la prononciation. Très utile pour les débutants ou dans les livres pour enfants.
Les voyelles longues et les consonnes doublées en hiragana
Consonnes doublées
En japonais, une consonne double est indiquée par un petit caractère っ (appelé “petit tsu”), placé avant la consonne à doubler.
Exemple :
勝った (katta, “a gagné”) → s’écrit en hiragana : かった
Le petit っ vient avant la deuxième consonne “t”.
💡 Astuce : ce petit “tsu” marque une pause ou une tension dans la prononciation — il ne se prononce pas vraiment, mais on l’entend comme un arrêt.
Voyelles longues
Une voyelle longue signifie que le son de la voyelle est prolongé.
En hiragana, cela se fait en ajoutant une autre voyelle en fonction du son d’origine.
Voici un tableau explicatif :
Son de voyelle
Prolongé avec…
Exemple
a
あ
おばあさん (obāsan = grand-mère)
i, e
い
おおきい (ōkii = grand), きれい (kirei = joli)
u, o
う
こうこう (kōkō = lycée), くうき (kūki = air)
⚠️ À noter : cette règle de prolongement des voyelles est très fréquente en japonais et essentielle pour bien différencier des mots qui peuvent sembler identiques (ex. じこ vs じこう).
Exemple Exemple d’une phrase en hiragana
Commençons par une phrase toute simple : « Le nom de mon animal de compagnie est Bob. » (Quel drôle de nom pour un animal !)
En hiragana, cela s’écrit :
わたしの ぺっと の なまえ は ぼぶ です。 Watashi no petto no namae wa bobu desu.
Comme tu peux le voir, on peut écrire une phrase complète uniquement en hiragana ! C’est d’ailleurs comme cela que les enfants japonais commencent à apprendre la lecture et l’écriture.
Bien sûr, plus tu progresses et plus tu vas apprendre à remplacer certains mots par des kanji (comme 名前 pour “namae”) ou des mots en katakana (comme ペット pour “petto” = animal domestique).
Cependant, certains éléments restent en hiragana, comme :
les particules grammaticales の (no) et は (wa),
les verbes simples comme です (desu), ou les auxiliaires.
Conseils pour écrire en japonais
1. Il n’y a pas d’espace entre les mots en japonais
À la différence du français, le japonais s’écrit sans espaces. Pour faciliter la lecture, les Japonais utilisent un mélange de hiragana, kanji et katakana, ce qui permet de distinguer les mots à l’intérieur d’une phrase.
🔍 D’ailleurs, une phrase 100 % en hiragana est souvent plus difficile à lire, même pour les natifs, qu’une phrase qui utilise des kanji.
2. Attention aux hiragana qui se ressemblent !
Plusieurs caractères ont une forme proche et sont souvent confondus par les débutants. Voici quelques exemples :
つ (tsu) vs す (su)
ろ (ro), れ (re), る (ru)
ぬ (nu) vs め (me)
💡 Conseil : prends bien ton temps au début, et entraîne-toi à les écrire lentement pour bien voir la différence.
3. Le sens et l’ordre des traits sont importants
Quand tu écris un caractère japonais, il y a un ordre de tracé spécifique à respecter.
Pourquoi est-ce important ?
Cela permet de mieux mémoriser chaque caractère.
Ton écriture sera plus lisible et naturelle.
Cela t’aidera aussi à deviner comment écrire de nouveaux caractères plus tard.
✍️ S’exercer à bien écrire chaque caractère, même à la main, reste un excellent moyen de progresser.
Système d’écriture japonais #2 : Le Katakana
Après avoir appris les hiragana, il est logique de passer au katakana. Le katakana fonctionne exactement comme le hiragana : chaque symbole représente une syllabe, mais les caractères sont différents. Certains sont même visuellement proches de leurs équivalents en hiragana !
D’ailleurs, on regroupe souvent hiragana et katakana sous le nom de kana, car ils partagent le même principe phonétique.
Écriture des katakana de base
Les voyelles
ア(a), イ(i), ウ(u), エ(e), オ(o)
Ligne K
カ (ka), キ(ki), ク(ku), ケ(ke), コ(ko)
Ligne S
サ(sa), シ(shi), ス(su), セ(se), ソ(so)
Ligne T
タ(ta), チ(chi),ツ(tsu), テ(te), ト(to)
Ligne H
ハ(ha), ヒ(hi), フ(fu), へ(he), ホ(ho)
Ligne N
ナ(na), ニ(ni), ヌ(nu), ネ(ne), ノ(no)
Ligne M
マ(ma), ミ(mi), ム(mu), メ(me), モ(mo)
Ligne Y
ヤ(ya), ユ(yu), ヨ(yo)
Ligne R
ラ(ra), リ(ri), ル(ru), レ(re), ロ(ro).
Sons particuliers
ワ(wa), ヲ(o/wo), and ン(n).
Sons modifiés (avec marques diacritiques)
Comme en hiragana, il existe 23 sons supplémentaires, modifiés avec les marques dakuten (゛) ou handakuten (゜) :
Ligne G
ガ (ga), ギ (gi), グ (gu), ゲ (ge), ゴ (go)
Ligne Z
ザ (za), ジ (ji), ズ (zu), ゼ (ze), ゾ (zo)
Ligne D
ダ (da), ヂ (ji), ヅ (zu), デ (de), ド (do)
Ligne B
バ (ba), ビ (bi), ブ (bu), ベ (be), ボ (bo)
Ligne P
パ (pa), ピ (pi), プ (pu), ペ (pe), ポ (po)
Sons contractés et sons étrangers
Les sons contractés (kya, shu, etc.) sont formés de la même manière qu’en hiragana : on ajoute un petit ヤ, ユ ou ヨ après une syllabe en -i. Mais le katakana permet aussi de transcrire des sons étrangers que le japonais ne possède pas à l’origine, en combinant des petites voyelles avec des consonnes.
Exemples :
カフェ (kafe) — café → フェ = “fe”
パーティー (paatii) — fête → ティ = “ti”
ハロウィーン (harowiin) — Halloween → ウィ = “wi”
C’est ce qui rend le katakana particulièrement utile pour les mots d’origine étrangère !
Katakana vs Hiragana : comment les reconnaître ?
Les katakana ont un style plus anguleux et géométrique que les hiragana. Ils comportent plus de lignes droites et moins de courbes. C’est l’un des moyens les plus simples de les distinguer en un coup d’œil.
Le katakana est principalement utilisé pour écrire des mots étrangers, c’est-à-dire des mots empruntés à d’autres langues.
Par exemple :
ハンバーガー (hanbāgā) → hamburger (anglais)
アルバイト (arubaito) → petit boulot (vient de l’allemand Arbeit, travail)
C’est aussi dans le katakana que l’on écrit les prénoms non-japonais, les noms de pays, marques, plats internationaux, etc.
2. Onomatopées et sons
Le katakana est aussi utilisé pour écrire des onomatopées – ces mots qui imitent un son ou une ambiance :
ピカピカ (pikapika) — scintillement
ガチャ (gacha) — cliquetis
ワンワン (wanwan) — aboiement du chien
On les retrouve partout : dans les mangas, les pubs, les dessins animés…
3. Mettre un mot en valeur
Comme l’italique ou le gras en français, le katakana permet d’accentuer un mot dans une phrase.
C’est très fréquent dans les panneaux publicitaires, les menus ou les emballages.
Exemples :
メガネ (megane) — lunettes
ラーメン (rāmen) — ramen
Même si ce sont des mots japonais, ils sont écrits en katakana pour attirer l’attention.
Les voyelles longues et consonnes doubles en katakana
Voyelles longues Bonne nouvelle : en katakana, c’est simple ! Les voyelles longues sont représentées par un simple trait horizontal : 「ー」
Exemple :
アート (āto) → “art” → le trait prolonge le “a”.
Consonnes doubles On utilise le petit 「ッ」 (tsu) pour indiquer une consonne doublée, comme en hiragana.
Exemple :
バッグ (baggu) → “sac” → le petit tsu sert à allonger le son “g”.
Exemple en contexte
Souviens-toi de notre animal de compagnie au prénom rigolo ? Voici la phrase de tout à l’heure, mais cette fois avec du katakana. Saurez-vous deviner quelles parties sont écrites en katakana ?
わたしのペットのなまえは ボブ です。 Watashi no petto no namae wa Bobu desu.
✅ Réponse : ペット (petto) et ボブ (Bobu) sont des mots d’origine étrangère, donc écrits en katakana.
Le katakana est donc un excellent moyen de clarifier visuellement une phrase, surtout en japonais où il n’y a pas d’espaces entre les mots !
Quelle est la différence entre le hiragana et le katakana ?
Mais alors, pourquoi y a-t-il deux syllabaires japonais ? Est-ce simplement une question de style ? Pas du tout !
Chaque syllabaire a son usage spécifique :
Le hiragana (ひらがな)
Il est utilisé pour :
écrire les mots d’origine japonaise (natifs), surtout quand ils n’ont pas de kanji associé ou que le kanji est trop compliqué ;
écrire les éléments grammaticaux, comme les particules :
を (wo)
に (ni)
へ (he)
が (ga)
は (ha, mais se prononce wa)
👉 Le hiragana est donc omniprésent dans n’importe quelle phrase japonaise.
Le katakana (カタカナ)
Il est utilisé pour :
les mots d’origine étrangère (ex. hamburger → ハンバーガー) ;
les noms étrangers, de personnes ou de pays ;
les onomatopées dans les mangas (ドキドキ, バン!) ;
mettre un mot en valeur, dans les publicités, les enseignes, etc.
Et les furigana ?
As-tu entendu parler des furigana ? Ce sont de petits caractères en hiragana ou katakana écrits au-dessus d’un kanji pour en indiquer la prononciation.
On les retrouve dans :
les livres pour enfants ;
les manuels pour débutants ;
les textes avec des kanji rares ou complexes.
Les furigana permettent ainsi de lire un mot même sans connaître le kanji correspondant.
Système d’écriture japonais #3: Les kanji (漢字)
Dernier système d’écriture japonais à aborder : les kanji !
Qu’est-ce que les kanji ?
Les kanji (漢字) sont des caractères d’origine chinoise. Ils ont été le premier système d’écriture utilisé au Japon, bien avant le hiragana et le katakana, et ils sont apparus il y a plus de 1 500 ans. C’est à partir des kanji que le hiragana et le katakana ont été créés, par simplification ou découpage de traits.
Combien de kanji existe-t-il ?
Il existe plus de 50 000 kanji au total. Heureusement, seuls 2 000 à 3 000 sont nécessaires pour lire la plupart des textes japonais modernes (journaux, livres, panneaux, etc.).
Lire les kanji
Les kanji sont différents du hiragana et du katakana, car un seul caractère peut avoir plusieurs prononciations. Cela peut paraître déroutant au début, mais il y a une explication logique.
Il existe deux types de lectures :
📗 Kun-yomi (訓読み) : la lecture japonaise, utilisée souvent quand le kanji est seul ou suivi d’une terminaison en hiragana.
📕 On-yomi (音読み) : la lecture d’origine chinoise, utilisée lorsqu’un kanji est combiné avec d’autres kanji dans un mot composé.
La lecture on-yomi est généralement plus courte et plus « technique », tandis que la kun-yomi est plus proche du japonais parlé de tous les jours.
✍️ Exemple : Le kanji 人 (personne) peut se lire :
じん (jin) dans 外国人 (gaikokujin → personne étrangère) → on-yomi
ひと (hito) dans 一人 (hitori → une personne seule) → kun-yomi
Donc, si tu vois un kanji avec plusieurs prononciations selon le mot, c’est tout à fait normal !
Écrire les kanji
Les radicaux
Tous les kanji sont construits à partir d’éléments plus petits appelés radicaux (部首 bushu en japonais). Un radical est un petit symbole qui peut :
Être un kanji à lui tout seul, comme 一 (ichi → un), ou
Faire partie d’un kanji plus complexe en combinaison avec d’autres éléments.
Par exemple : 一 (un) + 亅 = 丁 (chō → quartier, bloc)
Il existe 214 radicaux officiels, et ils peuvent se placer à 13 endroits différents dans un caractère kanji (à gauche, en haut, en bas, autour, etc.).
💡Astuce : Si tu considères les kanji comme un assemblage de pièces, un peu comme un puzzle, cela t’aidera à les mémoriser plus facilement.
Radicals
Les 4 grandes catégories de kanji
Les kanji sont classés selon comment les radicaux ont été assemblés. On peut les regrouper en 4 types principaux :
1. Pictogrammes (象形文字 shōkei moji)
Ce sont les kanji les plus anciens, issus de dessins d’objets réels. C’est un peu comme les emojis d’aujourd’hui ! 😄
Exemple : 山 (yama, montagne) — le caractère ressemble à trois sommets de montagne.
Ces kanji représentent des idées abstraites comme “haut” ou “bas” à l’aide de traits et de points.
Exemple :
上 (ue, en haut) : un point au-dessus d’une ligne
下 (shita, en bas) : un point en dessous de la ligne
3. Idéogrammes composés (会意文字 kaii moji)
Ce type de kanji est formé par la combinaison de deux kanji plus simples qui, ensemble, créent une nouvelle signification.
Exemple : Le kanji 休 (yasumu, se reposer) est composé de :
人 (hito, personne) — souvent représenté par le radical ⺅
木 (ki, arbre)
L’image mentale ? 👉 Une personne adossée à un arbre, en train de se reposer. C’est cette association logique qui donne tout son sens au caractère 休.
4. Kanji phonético-idéographiques (形声文字 keisei moji)
Ces kanji mélangent deux éléments :
Un radical qui donne une indication de sens
Un autre kanji qui représente la prononciation (souvent l’on-yomi)
Ce système a été mis en place pour résoudre un problème fréquent : parfois, un kanji représentait bien un son, mais pas du tout le sens du mot. Pour éviter toute confusion, les anciens Japonais ont combiné deux kanji — un pour le son, un pour le sens.
💧 Exemple : Le kanji 清 (sei, propre / pur) est composé de :
⺡ le radical de l’eau (forme simplifiée de 水 mizu)
青 (sei, bleu)
🔍 Comme l’eau est souvent associée à la propreté, on a combiné ces deux idées : eau + bleu = pur.
En résumé
Les kanji sont plus complexes que les hiragana ou les katakana, mais une fois que tu comprends la logique des radicaux et les différents types de kanji, cela devient beaucoup plus facile à retenir.
📚 Apprendre l’ordre des traits (l’ordre dans lequel on écrit les traits d’un kanji) aide aussi à mieux mémoriser. Tu peux utiliser des sites spécialisés comme ce site pour verifier des kanji et voir l’ordre de ses traits.
Utilisation des kanji
Les kanji sont utilisés pour écrire :
Les noms (substantifs)
Les radicaux de verbes
Les adjectifs
👉 En bref, les kanji servent à écrire la majorité des mots-clés de la langue japonaise que vous rencontrerez dans la vie quotidienne. Même si les hiragana et katakana sont essentiels, il est impossible de se passer des kanji si vous voulez lire ou écrire en japonais de manière fluide.
Exemple
Reprenons une dernière fois notre phrase avec Bob, mais cette fois-ci écrite comme elle le serait dans un contexte courant :
私のペットの名前はボブです。 Watashi no petto no namae wa bobu desu.
Vous avez remarqué ? Cette version est plus courte que celle tout en hiragana ! Ici :
私 (watashi, je) et 名前 (namae, nom) sont en kanji.
ペット (petto, animal de compagnie) et ボブ (Bob) sont en katakana.
Les particules の et は, ainsi que le verbe です (desu), restent en hiragana.
En combinant les trois systèmes, la phrase devient plus lisible visuellement, et c’est ainsi que les Japonais écrivent naturellement !
Bien que cela puisse paraître intimidant au début, tout devient plus simple avec un peu de pratique !
✍️ Essayez d’écrire les kanji à la main pour mieux comprendre la logique des radicaux. 📱 Vous pouvez aussi utiliser des applications spécialisées pour vous entraîner à reconnaître, lire et écrire les kanji.
Conclusion
On a vu beaucoup de choses aujourd’hui ! Voici un petit récapitulatif pour bien tout retenir :
🇯🇵 Le système d’écriture japonais est composé de trois types d’écriture :
Hiragana
Formes arrondies
Chaque caractère représente une syllabe
Utilisé pour les particules, terminaisons verbales, mots grammaticaux, mots d’origine japonaise
Katakana
Formes anguleuses
Représente aussi des syllabes
Utilisé pour les mots étrangers, noms étrangers, onomatopées, et mises en valeur
Le système d’écriture japonais utilise les scripts hiragana, katakana et kanji.
Que représente l’hiragana ?
L’hiragana est utilisé pour écrire les mots japonais d’origine, les particules grammaticales et les terminaisons verbales.
Que représente le katakana ?
Le katakana sert à transcrire les mots étrangers, les emprunts linguistiques, les onomatopées et les mots que l’on souhaite mettre en valeur.
Combien y a-t-il de caractères en hiragana et katakana ?
Il y a 46 caractères dans chacun des syllabaires hiragana et katakana.
Qu’est-ce qui ressemble le plus à l’alphabet français ?
Il n’existe pas d’alphabet en japonais, mais les éléments les plus proches seraient les syllabaires hiragana et katakana.
Combien de kanji faut-il apprendre ?
Pour être considéré comme fluent en japonais, il faut apprendre entre 1 500 et 2 500 caractères kanji.
Après avoir maîtrisé les hiragana, l’un des trois systèmes d’écriture japonais, l’étape suivante est d’apprendre les katakana, le second syllabaire japonais.
Les katakana sont principalement utilisés pour écrire les mots d’origine étrangère (appelés gairaigo), les noms d’emprunts, les onomatopées ou encore les noms scientifiques. Bien qu’ils représentent les mêmes sons que les hiragana, leur apparence est totalement différente.Contrairement aux hiragana aux courbes douces et arrondies, les katakana sont anguleux, droits et plus géométriques, ce qui leur donne un aspect plus moderne.
Beaucoup d’apprenants trouvent les katakana un peu plus difficiles à assimiler au début. Certains caractères se ressemblent beaucoup, ce qui peut entraîner des confusions. Mais ne vous inquiétez pas ! Dans ce guide, nous allons vous expliquer ce que sont les katakana, quand les utiliser, et vous proposer un tableau katakana à téléchargergratuitement pour faciliter votre apprentissage et vos révisions.
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Qu’est-ce que les katakana ?
Les katakana (カタカナ) sont l’un des trois systèmes d’écriture utilisés en japonais, aux côtés des hiragana (ひらがな) et des kanji (漢字). Il s’agit d’un syllabaire phonétique : chaque caractère correspond à une syllabe ou un son précis, contrairement aux kanji qui expriment des idées ou des significations.
Le syllabaire katakana comprend 46 caractères de base — comme ka (カ), shi (シ), ou to (ト) — ainsi que des variantes modifiées. Les katakana, tout comme les hiragana et la langue japonaise en général, reposent sur cinq voyelles principales : A, I, U, E, O.
Il existe aussi des versions modifiées des caractères de base permettant d’exprimer :
Voici un aperçu des cinq voyelles de base, à la fois en katakana et en hiragana :
Katakana
Romanisation
Prononciation
Exemple
ア
A
ah
“art”
イ
I
ee
“see”
ウ
U
oo
“food”
エ
E
eh
“met”
オ
O
oh
“go”
Un système très différent du français ? Oui… mais pas tant que ça.
Le système des katakana peut surprendre au début, surtout si vous êtes francophone. En effet, en français, on utilise 6 voyelles écrites principales (a, e, i, o, u, y)… mais elles peuvent se combiner de nombreuses façons pour produire une grande variété de sons (é, è, ê, eu, ou, au, oi, etc.), parfois même dans une seule syllabe.
En japonais, les choses sont plus simples : chaque katakana correspond à une syllabe claire, généralement formée d’une consonne suivie d’une voyelle. Il n’y a ni lettre muette, ni accent, ni diphtongue complexe comme on en trouve en français.
Cela demande un petit effort au début, mais une fois maîtrisé, le système devient très logique et prévisible, ce qui est une bonne nouvelle pour les apprenants francophones !
Téléchargez gratuitement le tableau des katakana
Pour bien démarrer, téléchargez notre tableau katakana : il inclut tous les caractères de base ainsi que leurs variations. Vous pouvez l’imprimer pour l’avoir sous les yeux pendant vos révisions, ou simplement le sauvegarder sur votre téléphone ou votre ordinateur pour le consulter à tout moment.
✍️ Vous n’avez pas encore appris les hiragana ? Téléchargez aussi notre tableau hiragana gratuit.
Aperçu du tableau katakana
Comme les hiragana, les katakana de base comprennent 46 caractères essentiels qui permettent de représenter les sons fondamentaux de la langue japonaise.
Cependant, les katakana sont particulièrement utiles pour adapter les mots étrangers, et c’est là que les marques diacritiques — dakuten et handakuten — ainsi que les petits kana combinés entrent en jeu.
Ces petites marques modifient la prononciation de certains caractères et permettent d’élargir la palette sonore du japonais.
Les dakuten (゛) et handakuten (゜)
Les dakuten (゛) ajoutent une consonne sonore au caractère d’origine : → k devient g, s devient z, etc.
Les handakuten (゜) ajoutent un son “p”, et s’appliquent uniquement à la ligne des ハ (ha, hi, fu, he, ho).
Voici comment ces marques modifient les katakana de base :
K à G
S à Z
T à D
H à B
H à P
カ → ガ (ga)
サ → ザ (za)
タ → ダ (da)
ハ → バ (ba)
ハ → パ (pa)
キ → ギ (gi)
シ → ジ (ji)
チ → ヂ (ji)
ヒ → ビ (bi)
ヒ → ピ (pi)
ク → グ (gu)
ス → ズ (zu)
ツ → ヅ (zu)
フ → ブ (bu)
フ → プ (pu)
ケ → ゲ (ge)
セ → ゼ (ze)
テ → デ (de)
ヘ → ベ (be)
ヘ → ペ (pe)
コ → ゴ (go)
ソ → ゾ (zo)
ト → ド (do)
ホ → ボ (bo)
ホ → ポ (po)
Comment bien utiliser le tableau des katakana
Utiliser efficacement le tableau des katakana demande de bien comprendre sa structure, de pratiquer régulièrement, et surtout d’appliquer ce que vous apprenez dans des contextes concrets. Voici nos conseils pour en tirer le meilleur parti :
1. Se familiariser avec la structure du tableau
Le tableau des katakana est organisé selon des paires consonne + voyelle (par exemple : カ (ka), キ (ki), ク (ku), ケ (ke), コ (ko)). Chaque ligne correspond à une consonne, et chaque colonne à une voyelle : A, I, U, E, O.
2. Apprendre progressivement
Commencez par mémoriser les 46 caractères de base avant de passer aux sons modifiés (comme ガ, ギ, グ avec les accents).
Astuce : Apprenez une ligne de consonnes par jour (par exemple : d’abord la série en K → カ, キ, ク, ケ, コ, puis celle en S, etc.). Cela permet de mieux retenir sans surcharge et d’avancer à votre rythme.
3. Pratiquer l’écriture manuelle
Entraînez-vous à écrire chaque caractère en respectant l’ordre des traits (souvent indiqué sur les tableaux). Écrire à la main favorise la mémoire et aide à reconnaître visuellement les caractères plus rapidement.
Dès que possible, commencez à écrire de vrais mots en katakana, comme des prénoms ou des noms de marques, pour relier la théorie à la pratique.
4. Utiliser des flashcards ou applications
Les applications comme Anki sont très efficaces grâce au principe de répétition espacée, qui vous aide à mémoriser durablement.
Il existe aussi d’autres apps spécialement conçues pour apprendre les kana (katakana et hiragana), avec jeux, quiz ou reconnaissance visuelle.
Comment utiliser les katakana? À quoi servent les katakana ?
Alors que le hiragana est utilisé pour les mots d’origine japonaise (et la grammaire), le katakana est principalement réservé aux mots étrangers empruntés (appelés gairaigo). Mais son usage ne s’arrête pas là !
Comme les katakana ont une forme visuelle très anguleuse et distincte des hiragana, ils se repèrent facilement dans un texte et permettent de différencier le type de mot utilisé.
1. Les mots empruntés aux langues étrangères
C’est le cas le plus courant. Le katakana sert à écrire des mots venus d’autres langues, notamment l’anglais, mais aussi le français, l’allemand ou encore le portugais. On parle alors de gairaigo (外来語), c’est-à-dire « mots venus de l’extérieur ».
Exemples courants en katakana :
Traduction française
Katakana
Romaji
Pain (du français!)
パン
Pan
Ordinateur
コンピュータ
konpyuuta
Télévision
テレビ
terebi
Café
コーヒー
koohii
2. Les noms étrangers et noms de lieux
Les prénoms, noms de famille, lieux ou marques venant de l’étranger sont écrits en katakana.
Par exemple :
Nom français
Katakana
Romaji
Macron
マクロン
Makuron
John
ジョン
jon
Paris
パリ
pari
McDonald’s
マクドナルド
Makudonarudo
Envie de savoir comment s’écrit ton prénom en japonais ? Consulte notre guide pratique pour convertir ton prénom en katakana !
Les onomatopées sont des mots qui imitent des sons — et elles sont omniprésentes en japonais !
Mais le japonais va plus loin : certaines onomatopées ne reproduisent pas des sons réels, mais décrivent des sensations, des émotions ou des mouvements.
En général, ces mots sont écrits en katakana pour exprimer le son ou la situation de manière vivante.
Exemples :
ドキドキ (dokidoki) — le battement du cœur (excitation, nervosité)
ガタン (gatan) — le bruit d’un choc ou d’un train
Vous les verrez souvent dans les manga, anime et publicités.
Le katakana n’est pas réservé aux mots étrangers ! Il peut aussi servir à mettre en valeur certains mots, même s’ils sont d’origine japonaise.
C’est un peu comme utiliser des italiques ou du gras en français pour attirer l’attention.
C’est une pratique courante dans les publicités, les enseignes, ou même dans des messages informels.
Exemples :
カラダにいい! Karada ni ii → « Bon pour le corps ! »
彼はすごくカッコイイ! Kare wa sugoku カッコイイ ! → « Il est vraiment trop stylé ! »
5. Les termes scientifiques et techniques
Enfin, le katakana est aussi utilisé dans des contextes scientifiques ou techniques, notamment pour :
Les noms scientifiques de plantes et d’animaux
Certains termes technologiques ou médicaux
Le vocabulaire informatique
Cette convention permet de distinguer ces mots du vocabulaire quotidien écrit en kanji ou hiragana.
Par exemple :
ホモ・サピエンス (Homo sapiens)
アルゴリズム (arugorizumu) → algorithme
ウイルス (uirusu) → viru
Erreurs courantes à éviter en katakana
Le katakana peut être un peu piégeux, surtout au début, car certains caractères se ressemblent beaucoup visuellement ou phonétiquement. Voici les confusions les plus fréquentes et comment les éviter 👇
1. シ (shi) vs. ツ (tsu)
Ces deux caractères sont souvent confondus à cause de leurs traits courts.
シ (shi) → les trois petits traits pointent vers le bas à gauche
ツ (tsu) → les trois traits pointent vers la droite
📝 Astuce visuelle : imagine que シ est “en train de pleurer” vers le bas, alors que ツ lève les bras !
2. ソ (so) vs. ン (n)
Encore une paire piégeuse visuellement !
ソ (so) → les traits penchent vers la gauche
ン (n) → les traits penchent vers la droite
🧠 Mémo : “So” se penche à gauche, comme un “S” qui penche ; “N” va vers la droite.
3. ヌ (nu) vs. ネ (ne)
Les deux commencent de manière similaire, mais la différence est subtile :
ヌ (nu) → possède une petite boucle (comme une goutte d’eau) en bas à droite
ネ (ne) → a des lignes plus angulaires et pas de boucle
💡 Pense à la boucle de “nuage” pour retenir ヌ !
4. ヲ (wo) vs. ヨ (yo)
Très souvent confondus car tous deux utilisent plusieurs traits horizontaux.
ヲ (wo) → possède un crochet courbé à gauche, ce qui lui donne une forme plus fluide
ヨ (yo) → se compose de trois traits horizontaux bien droits, un peu comme un E inversé
📌 Astuce : pense que ヨ = yo comme dans yo-yo, donc bien droit et structuré.
Conclusion
Il n’y a pas une seule méthode universelle pour apprendre le japonais, mais le tableau des katakana est un outil précieux pour bien démarrer.
💡 Conseil final : Utilisez-le en combinaison avec :
des cartes mémoire (flashcards)
des exercices d’écriture
des quiz de reconnaissance visuelle
Plus vous les utilisez en contexte, plus votre lecture et écriture deviendront naturelles.
🎌 Bonne étude du katakana ! 頑張ってね!
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À quoi sert le katakana ?
Le katakana est l’un des syllabaires japonais principalement utilisé pour écrire les mots étrangers empruntés (les “gairaigo”), les noms étrangers, les onomatopées, certains termes scientifiques, et parfois pour mettre un mot en valeur — un peu comme l’italique dans un texte en français.
Combien de caractères comporte le katakana ?
Le katakana comporte 46 caractères de base, chacun représentant une syllabe distincte, auxquels s’ajoutent quelques combinaisons supplémentaires utilisées pour des sons modifiés.
Quelle est la différence entre le katakana et le hiragana ?
Les deux syllabaires représentent le même ensemble de sons, mais sont utilisés de manière différente :
Le katakana, quant à lui, est utilisé pour les mots étrangers, les noms propres non japonais, et pour mettre l’accent sur un mot.
Le hiragana est utilisé pour les mots japonais d’origine, les particules grammaticales et la structure des phrases.
Existe-t-il des exceptions ou des irrégularités dans la prononciation du katakana ?
Le katakana suit en général des règles phonétiques régulières. Toutefois, certains emprunts étrangers peuvent voir leur prononciation adaptée à la phonologie japonaise, ce qui peut donner un son légèrement différent de celui d’origine.
Les honorifiques japonais sont des suffixes (et parfois des préfixes) utilisés pour montrer du respect ou de la familiarité lorsqu’on s’adresse à quelqu’un. Ils peuvent sembler compliqués au début, mais ils jouent un rôle essentiel dans les conversations quotidiennes. Par exemple, un même ami peut être appelé « Tanaka-san » un jour, puis « Tanaka-kun » le lendemain, selon la personne qui lui parle. Tout dépend du contexte, du statut social et même du genre.
Vous vous êtes déjà demandé ce que signifient -chan, -kun, -san ou -sama, et comment bien les employer ? Vous êtes au bon endroit. Dans ce guide, nous allons vous expliquer la signification des honorifiques japonais les plus courants et vous apprendre à choisir celui qu’il faut utiliser selon la situation.
Utiliser les suffixes honorifiques japonais
Les suffixes honorifiques japonais sont des particules qui s’ajoutent à la fin du nom d’une personne. Au Japon, on s’appelle plus souvent par le nom de famille que par le prénom. Par exemple, si vous rencontrez une personne appelée Satou Kentarou (Satou étant le nom de famille), vous l’appellerez couramment Satou-san.
Parfois, un suffixe peut aussi être ajouté au prénom, selon le degré de proximité ou les préférences personnelles. Si vous avez un doute, il est toujours plus sûr d’utiliser le nom de famille suivi d’un suffixe approprié.
Ces suffixes sont utilisés aussi bien pour s’adresser directement à quelqu’un que pour parler de cette personne. À noter que dans une société japonaise très attachée à la hiérarchie, les personnes de statut plus élevé peuvent se permettre de ne pas utiliser de suffixe en parlant de quelqu’un.
Le suffixe -san, le plus courant, peut être traduit en français par “Monsieur”, “Madame” ou “Mademoiselle”, mais il est neutre et s’emploie quel que soit le genre. Cependant, l’utilisation des suffixes honorifiques japonais est souvent plus complexe qu’elle n’en a l’air, et il n’est pas toujours possible de les traduire directement.
Vous apprenez mieux avec des vidéos ? Regardez Nami-sensei vous expliquer en détail comment fonctionnent les suffixes japonais comme -san, -sama, -kun et -chan !
4 suffixes honorifiques japonais de base
1. San (さん)
San (さん) est très probablement le premier suffixe honorifique que vous apprendrez en étudiant le japonais. Ce suffixe peut être utilisé pour parler de presque tout le monde. Il est neutre, sans distinction de genre, et correspond à « Monsieur », « Madame », « Mademoiselle » en français, mais il est bien plus courant et systématique dans la langue japonaise.
Ce qui rend -san aussi courant et sûr à utiliser, c’est qu’il marque toujours une certaine forme de respect, sans être trop formel.
Son usage est très large et flexible : bien qu’il soit le plus souvent ajouté au nom d’une personne, il peut aussi être utilisé pour parler d’une profession, d’un rôle social, voire d’un commerce ou d’une entreprise.
Par exemple, un boulanger peut être désigné par 「パン屋さん」 (pan-ya san) — littéralement « Monsieur Boulanger ».
Utilisation de “san”
Exemple
Équivalent français
Ajouté à un nom de personne
田中さん (Tanaka-san)
M. / Mme Tanaka
Ajouté à une profession
パン屋さん (pan-ya san)
Le boulanger (litt. « monsieur boulangerie »)
Ajouté à un commerce
本屋さん (honya-san)
Le libraire (litt. « monsieur librairie »)
2. Sama (さま)
Sama (さま) est un suffixe très respectueux en japonais. Il représente la version formelle et honorifique de –san, et est souvent utilisé dans les relations professionnelles ou commerciales.
Employer –sama signifie que l’on reconnaît un statut supérieur ou une position honorée à la personne à qui l’on s’adresse. Par exemple, pour parler à un client ou à un invité, on utilisera お客様 (okyaku-sama) qui signifie littéralement « client honoré » ou « invité de marque ». Ce suffixe exprime un haut degré de politesse et de respect, un peu comme dire « Monsieur » ou « Madame » dans un cadre très formel en français.
Exemple : お客様、いらっしゃいませ。 Okyaku-sama, irasshaimase. Bienvenue, cher client.
À noter : L’usage de –sama ne se limite pas à l’oral. Dans la correspondance écrite, il est courant de faire suivre le nom du destinataire du kanji 様, en particulier dans un contexte professionnel. Cela correspondrait à une formule comme « Cher Monsieur / Madame » dans une lettre, mais avec une touche de respect encore plus marquée, très importante dans la culture japonaise hiérarchisée.
Ce suffixe est également utilisé pour montrer du respect à un groupe de personnes, notamment dans l’expression 皆様 (mina-sama), qui signifie « vous tous » de manière très polie. On le retrouve aussi dans des expressions courantes comme お疲れ様 (otsukaresama), utilisée pour remercier ou saluer les efforts d’une personne.
Enfin, les divinités japonaises sont aussi désignées avec –sama, pour souligner leur statut divin.
Exemple : 神様にお願いをしました。 Kami-sama ni onegai o shimashita. J’ai fait un vœu au dieu.
3. Kun (くん)
Le suffixe –kun (くん) est généralement utilisé pour s’adresser à des garçons ou à des hommes plus jeunes, en particulier dans des contextes où l’interlocuteur est d’un statut hiérarchique supérieur. Si vous regardez des anime ou lisez des mangas, vous avez probablement déjà entendu ce suffixe, souvent utilisé entre camarades ou collègues masculins.
Exemple : 佐藤くん、こちらの資料を見てください。 Satou-kun, kochira no shiryou o mite kudasai. Satou, merci de bien vouloir consulter ces documents. Satou, please take a look at these documents.
Quand utilise-t-on –kun ?
Lorsqu’on s’adresse à un garçon ou un jeune homme, notamment dans un cadre scolaire ou professionnel (un professeur à son élève, un supérieur à son subordonné).
Entre hommes du même âge ou plus âgés, pour marquer une relation amicale ou détendue.
Parfois, les femmes utilisent –kun pour s’adresser à un homme avec qui elles entretiennent une relation proche.
Dans certains cas en entreprise, une jeune femme peut être appelée –kun par son supérieur (souvent masculin). Cela peut sembler surprenant, mais cela dépend du contexte et de la hiérarchie implicite.
Attention : il est rare que des femmes s’appellent entre elles –kun, et vous ne devez jamais utiliser –kun envers un supérieur hiérarchique, car cela serait perçu comme impoli ou trop familier.
4. Chan (ちゃん)
Le suffixe –chan (ちゃん) est la forme affectueuse ou enfantine de –san. À l’origine, ce suffixe viendrait d’une mauvaise prononciation enfantine de –san, transformée en –chan. Ce son « ch » est aujourd’hui perçu comme mignon et attendrissant, ce qui explique son utilisation dans les contextes affectifs.
Voici quand on utilise –chan :
Dans un cadre amoureux, les partenaires peuvent s’appeler avec –chan.
Pour les jeunes enfants, notamment les petites filles.
Entre amis proches ou membres de la famille, quel que soit l’âge, pour exprimer de la tendresse.
Pour les animaux domestiques ou les animaux mignons.
Parfois entre adultes, comme surnom affectueux (souvent pour des femmes).
Fun fact : –chan est aussi très courant pour nommer les chats mignons ou les mascottes kawaii !
Exemple célèbre : au Japon, l’acteur Arnold Schwarzenegger est affectueusement surnommé シュワちゃん (Shuwa-chan) – un clin d’œil amusant à son nom, mais aussi une façon de l’exprimer avec familiarité et affection.
Honorifiques japonais moins courants
Les quatre suffixes que nous avons déjà vus — san, kun, chan et sama — sont de loin les plus utilisés dans la vie quotidienne au Japon. Leur emploi dépend principalement du degré de formalité et de la relation hiérarchique ou affective entre les interlocuteurs. Cependant, la langue japonaise a évolué au fil des siècles, et d’autres suffixes, aujourd’hui plus rares ou spécifiques, existent également. Certains sont anciens et tombés en désuétude, d’autres sont utilisés dans des contextes très particuliers.
Voyons ensemble quelques-uns de ces honorifiques moins courants pour compléter la liste !
5. Dono (殿 /どの)
Le suffixe –dono (殿) est extrêmement formel et très rarement utilisé dans le japonais parlé moderne. On le retrouve plutôt dans des écrits formels comme les lettres d’entreprise ou les e-mails professionnels internes.
Historiquement, les samouraïs ou les seigneurs féodaux (daimyo) étaient appelés avec le titre –dono, qui était alors prononcé –tono. Ce suffixe exprimait un profond respect envers une personne d’un rang élevé, mais avec le temps, –sama (様) a progressivement remplacé –dono en tant que forme de politesse suprême.
Dans le monde du travail aujourd’hui :
Tandis que –sama reste la norme pour s’adresser à des clients ou des partenaires extérieurs.)
–dono peut encore être utilisé dans des échanges internes entre collègues d’une même entreprise.
Nuance importante : l’emploi de –dono peut parfois impliquer une hiérarchie inversée, c’est-à-dire que la personne qui l’utilise est en position légèrement supérieure. Par exemple, un supérieur hiérarchique pourrait écrire à un collaborateur plus jeune ou un stagiaire en utilisant le suffixe Tanaka-dono dans un courrier formel.
👉 Aujourd’hui, –dono est perçu comme archaïque. Beaucoup de Japonais ne l’entendront probablement jamais dans leur quotidien. Même si certaines entreprises perpétuent son usage dans des communications internes traditionnelles, –sama est désormais la forme respectueuse la plus sûre et la plus standard à utiliser dans les relations professionnelles.
6. Shi (氏)
Shi (氏) est un suffixe honorifique formel et neutre, utilisé presque exclusivement dans le japonais écrit — on le retrouve notamment dans les articles de presse, les documents officiels, les rapports académiques ou encore les dossiers administratifs.
Contrairement à –sama ou –dono, –shi n’est pas employé à l’oral. Son objectif est de marquer le respect de manière polie mais détachée.
📰 Par exemple, dans un article de journal, on pourrait lire :
「鈴木氏は次のように述べました。」 « M. Suzuki a déclaré que… »
Ce suffixe permet de désigner quelqu’un avec respect mais sans familiarité, ce qui en fait une option appropriée dans un contexte professionnel ou officiel, mais il est généralement évité dans les échanges quotidiens.
7. Tan (たん)
Tan (たん) est une version mignonne et enfantine du suffixe –chan (ちゃん). Il s’agit à l’origine d’une déformation affectueuse : comme dans le langage de bébé en français où “voiture” pourrait devenir “toutou”, le suffixe –chan est devenu –tan par jeu phonétique.
Ce suffixe est aujourd’hui largement utilisé dans la culture otaku, les communautés de fans, et entre amis prochespour donner un ton affectueux, parfois enfantin ou espiègle. On le retrouve fréquemment :
dans les surnoms de personnages d’anime ou de mascottes ;
pour désigner quelqu’un ou quelque chose de particulièrement “kawaii” (mignon) ;
ou encore dans des noms de scène ou de communauté.
💡 Par exemple, certains fans appellent leur personnage préféré “Riko-tan” au lieu de “Riko-chan”, pour accentuer la mignonnerie.
Bō (坊) est un suffixe honorifique ancien et affectueux qui, à l’origine, était utilisé pour désigner des apprentis, des moines ou les fils d’une famille, selon le contexte. Au fil du temps, il a pris une connotation plus familière pour s’adresser à de jeunes garçons, un peu comme les termes “fiston”, “petit gars” ou “champion” en français.
Contrairement à –chan, souvent employé pour les enfants ou dans un cadre affectueux quel que soit le genre, –bō met clairement l’accent sur la jeunesse masculine. Ce suffixe est aujourd’hui très rarement utilisé dans le japonais moderne — on le retrouve surtout :
ou comme surnom ludique
dans des romans historiques,
dans des contextes littéraires anciens,
Les titres basés sur le statut social
À ce stade, vous l’aurez compris : le japonais regorge de titres honorifiques. Mais il existe aussi une autre manière d’exprimer le respect, qui ne repose pas uniquement sur les suffixes comme –san ou –kun. En effet, les relations sociales japonaises sont fortement hiérarchisées, et cela se reflète aussi dans le vocabulaire. Voici trois termes essentiels à connaître pour comprendre la structure sociale au Japon : senpai, kouhai et sensei.
9. Senpai
Senpai (先輩) signifie “aîné”, “mentor” ou “personne plus expérimentée”. Ce terme est utilisé pour désigner :
un étudiant plus âgé,
un collègue expérimenté,
ou toute personne ayant plus d’ancienneté que vous dans un groupe ou une organisation.
Il est courant d’utiliser senpai comme un suffixe après le nom de la personne, par exemple :
田中先輩 (Tanaka-senpai) → Tanaka, mon aîné / mentor
Contrairement à –san ou –chan qui sont surtout des marques de politesse ou d’affection, –senpai souligne une relation hiérarchique, indiquant que vous êtes le kouhai (後輩), c’est-à-dire le junior, et que la personne en face est votre supérieur dans un cadre social ou éducatif.
10. Kouhai (後輩)
Kōhai (後輩) désigne le “cadet”, “junior”, ou “nouveau venu” dans un groupe. Il s’agit d’une personne :
plus jeune,
moins expérimentée,
ou dans un niveau hiérarchique inférieur (école, entreprise, club, etc.).
Contrairement à senpai, kouhai n’est quasiment jamais utilisé comme suffixe attaché au nom d’une personne. Il sert avant tout à décrire la relation sociale entre deux individus. Par exemple :
“Je suis son kouhai depuis qu’il m’a formé au club.”
11. Sensei (先生)
Sensei (先生) signifie littéralement « enseignant » ou « maître ». Si vous avez commencé à apprendre le japonais, ce terme vous est sûrement familier — on l’utilise souvent pour désigner un professeur d’école. Mais saviez-vous qu’au Japon, sensei peut aussi désigner un expert ou un maître dans son domaine ?
De nos jours, sensei est utilisé pour parler de :
professeurs (à l’école, à l’université, etc.),
médecins,
avocats,
politiciens,
ou encore artistes, écrivains, et maîtres d’arts martiaux.
Dans un dojo, par exemple, le maître d’arts martiaux est naturellement appelé sensei, en signe de respect pour son savoir et son autorité.
Contrairement aux suffixes plus neutres comme –san ou affectueux comme –chan, sensei ne se traduit pas vraiment par “Monsieur” ou “Madame”. Il exprime le respect pour une compétence, une connaissance ou une expérience reconnue.
田中先生に質問があります。 Tanaka-sensei ni shitsumon ga arimasu. J’ai une question pour M. ou Mme Tanaka (mon professeur).
💡 À savoir : Si vous vous intéressez à l’histoire ou à la langue japonaise ancienne, vous rencontrerez peut-être les termes chichi ue (父上) ou haha ue (母上) — des façons formelles et respectueuses de dire “père” ou “mère”, où le suffixe 上 (ue) signifie “au-dessus”, symbolisant l’autorité parentale.
Les honorifiques japonais dans le monde du travail et les professions
On connaît souvent san, kun, chan ou sama comme les suffixes honorifiques de base en japonais, mais il existe aussi des titres liés aux fonctions professionnelles, notamment dans l’univers de l’entreprise.
Attention : dans les entreprises japonaises traditionnelles, il est courant de s’adresser à quelqu’un en utilisant son titre professionnel plutôt qu’un simple suffixe comme –san. Par exemple, au lieu de dire « Tanaka-san », vous direz « Tanaka-shachou » pour parler du président de l’entreprise.
12. Buchou (部長) – Directeur de département
Buchou désigne la personne responsable d’un département dans l’entreprise. Ce poste implique la supervision des employés, la gestion des opérations et l’atteinte des objectifs.
田中部長は今、会議室で重要な打ち合わせをしています。 Tanaka-buchou wa ima, kaigishitsu de juuyou na uchiawase o shiteimasu. Le directeur Tanaka est actuellement en réunion importante dans la salle de conférence.
13. Shachou (社長) – Président / PDG
Shachou est le président de l’entreprise, souvent équivalent au PDG (CEO). Il prend les décisions stratégiques, fixe les grandes orientations et représente l’entreprise en interne comme à l’extérieur. Le shachou rend généralement compte au conseil d’administration.
社長の山本さんは、新しいプロジェクトの発表をしました。 Shachou no Yamamoto-san wa, atarashii purojekuto no happyou o shimashita. Le président Yamamoto a annoncé un nouveau projet.
14. Kachou (課長) – Chef de section
Kachou correspond à un chef de section, un poste situé sous le buchou. Il supervise une petite équipe ou une sous-division du département.
鈴木課長はチームの進捗を毎週チェックしています。 Suzuki-kachou wa chiimu no shinchoku o maishuu chekku shiteimasu. Le chef de section Suzuki vérifie l’avancement de l’équipe chaque semaine.
Erreurs courantes à éviter avec les honorifiques japonais
L’une des erreurs les plus fréquentes que font les apprenants en japonais est… d’utiliser un suffixe honorifique pour parler d’eux-mêmes. Ne dites jamais “-san” en parlant de vous, sauf si vous voulez paraître prétentieux ou arrogant ! La seule exception, c’est -chan, utilisé parfois de manière enfantine ou mignonne — notamment par les jeunes femmes — dans des contextes très familiers ou informels, en parlant d’elles-mêmes à la troisième personne.
Quand faut-il éviter les honorifiques japonais ?
Même si les honorifiques sont très utilisés au Japon, il existe des situations où leur usage n’est pas approprié :
En famille proche : Lorsqu’on parle à ses parents, frères et sœurs, les honorifiques sont souvent omis dans la conversation quotidienne.
Entre amis proches ou partenaires amoureux : Si la relation est très intime, on utilise généralement le prénom seul ou un surnom affectueux, sans ajout de suffixe.
Dans un contexte très décontracté ou entre enfants : Les honorifiques peuvent naturellement disparaître dans des milieux très familiers.
En entreprise, avec les titres professionnels : Parfois, on utilise le titre de la fonction sans suffixe, par exemple : ➤ « Tanaka buchou » (Tanaka, directeur) ➤ « Yamamoto tenchou » (Yamamoto, gérant de magasin) Cela montre du respect envers le rôle ou la fonction, tout en respectant les usages professionnels japonais.
Quand faut-il enlever les titres honorifiques ? 呼び捨て (Yobisute)
Le terme 呼び捨て (yobisute) signifie littéralement « appeler sans suffixe » — c’est-à-dire, ne pas utiliser de titre honorifique quand on parle d’une personne. Cela traduit un fort degré de familiarité, voire d’intimité, et c’est pourquoi son usage dépend du contexte social japonais.
Comprendre les concepts japonais « uchi » et « soto »
Le langage japonais repose sur une distinction culturelle fondamentale :
うち (uchi) = « l’intérieur » : votre famille, votre entreprise, votre club, vos amis proches… c’est votre groupe social intérieur.
そと (soto) = « l’extérieur » : toutes les personnes extérieures à votre groupe (clients, étrangers à votre entreprise, inconnus, etc.).
Cette opposition uchi/soto régit le niveau de politesse à adopter dans la langue japonaise, y compris pour l’utilisation (ou non) des titres honorifiques.
Exemple pratique : quand ne pas utiliser de suffixe
Supposons que vous travailliez dans une entreprise japonaise :
Dans votre entreprise (uchi), vous appelez souvent votre manager Kaneki-san.
Mais si vous parlez à un client (soto) au sujet de ce manager, vous enlevez le suffixe -san et utilisez plutôt le titre de fonction :🧾「部長の金木」 (buchou no Kaneki) = « Monsieur Kaneki, notre directeur »
De la même manière, si vous parlez d’un collègue interne, comme Takezawa-san, à un interlocuteur externe :
On garde les suffixes (san, kun…) quand on s’adresse à quelqu’un ou quand on parle de quelqu’un d’extérieur à son groupe (soto).
On les retire parfois quand on parle à une personne extérieure de quelqu’un de son propre groupe (uchi).
Cette règle est subtile, mais essentielle dans les relations professionnelles au Japon.
Utiliser les suffixes honorifiques japonais avec un prénom occidental
En japonais, les suffixes honorifiques sont généralement attachés au nom de famille, car la culture japonaise met traditionnellement l’accent sur le groupe ou la famille plutôt que l’individu. Mais alors, que faire si vous avez un prénom occidental ou un nom étranger qui ne suit pas cette convention ?
Pas d’inquiétude : les suffixes comme -san, -chan, -sama, -sensei ou -senpai peuvent aussi s’appliquer aux noms étrangers, y compris les prénoms. Par exemple :
Si vous êtes proche d’un ami nommé John, vous pouvez l’appeler John-chan pour exprimer une forme de tendresse ou de complicité.
Pour une professeure ou experte appelée Sarah, vous pouvez dire Sarah-sensei pour marquer le respect.
Prénom ou nom de famille ? Les deux sont possibles.
Au Japon, il est courant d’utiliser le nom de famille + suffixe (ex : Tanaka-san), mais avec les étrangers, cela varie selon les préférences personnelles. Les Japonais savent que dans les cultures occidentales, le prénom est plus souvent utilisé, ce qui peut parfois les déstabiliser. Il n’est donc pas rare qu’ils ajoutent -san à votre prénom, comme “Claire-san” ou “Alex-san”.
Ne soyez pas surpris si…
un Japonais vous appelle par votre prénom + san ;
un Japonais ne met pas de suffixe du tout : ce n’est pas un manque de respect, mais plutôt une tentative de s’adapter à vos habitudes culturelles.
En revanche…
Le prénom seul, sans suffixe, peut paraître trop familier ou même impoli au Japon, surtout dans des contextes professionnels ou formels. Mais comme toujours, les exceptions existent, surtout avec des Japonais ayant une expérience à l’étranger ou habitués aux contacts avec des étrangers.
En contexte professionnel : attention au keigo
Au travail, il est essentiel d’utiliser les bonnes formules de politesse (keigo) avec vos supérieurs ou collègues plus âgés. Cela va au-delà des simples suffixes et touche à la structure entière de la langue.
Vous pouvez également apprendre les différentes manières de parler de soi en japonais selon le contexte (watashi, boku, ore…).
Et maintenant ? Que faire après avoir appris les suffixes japonais ?
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FAQ
Que sont les honorifiques japonais ?
Les honorifiques japonais sont des suffixes ou titres ajoutés aux noms pour exprimer le respect, la familiarité ou une hiérarchie sociale. Les plus courants sont -san, -kun, -chan et -sama, et chacun s’emploie selon le niveau de politesse et le lien entre les personnes.
Quand utiliser -san en japonais ?
Utilisez -san pour vous adresser à quelqu’un de façon polie, notamment dans des contextes formels ou lorsque vous ne connaissez pas bien la personne. C’est le suffixe le plus universel, comparable à “Monsieur” ou “Madame”, mais sans distinction de genre.
Quelle est la différence entre -kun et -chan ?
-kun s’emploie surtout pour les garçons ou jeunes hommes, en particulier dans les milieux scolaires ou professionnels, lorsqu’un supérieur s’adresse à un junior. -chan est un suffixe affectueux, utilisé pour les enfants, les animaux de compagnie, les amis proches ou parfois les amoureux.
Que signifie -sama en japonais ?
-sama est un titre honorifique très formel, utilisé pour témoigner un grand respect, notamment envers les clients, invitésou personnes de haut rang. On le retrouve souvent dans les lettres formelles ou les services à la clientèle.
Peut-on utiliser les honorifiques japonais en anglais ?
Oui. Si vous parlez de la culture japonaise en anglais, vous pouvez tout à fait utiliser des suffixes comme -san pour marquer la politesse ou la clarté, même en dehors d’un contexte japonais.
Où apprendre le japonais ?
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On ne dit jamais trop « merci » en japonais, et il n’est jamais excessif d’exprimer sa gratitude dans n’importe quelle situation.
Selon la personne à qui vous vous adressez, la proximité sociale, le statut entre les interlocuteurs et le degré de politesse attendu, les expressions pour dire « merci » en japonais varient. Par exemple, si un ami vous rend service, vous le remercierez simplement pour montrer votre reconnaissance. C’est assez direct, n’est-ce pas ?
Mais la situation change complètement si vous devez remercier un client. Vous pourrez dire « merci », mais cela s’accompagnera de nombreuses courbettes… et parfois même d’excuses. Soudainement, le simple ありがとう (arigatou) devient bien plus complexe, n’est-ce pas ?
Ce n’est donc pas surprenant qu’il existe plusieurs façons de dire « merci » en japonais. Du très formel kansha shimasu à l’emprunt à l’anglais utilisé par les jeunes, sankyuu, chaque contexte demande une formule différente.
Heureusement, avec un petit guide express, vous pourrez rapidement comprendre les codes sociaux liés à l’art de remercier en japonais.
Que veut dire « merci » en japonais ?
La façon la plus simple et la plus courante de dire « merci » en japonais est 「ありがとうございます」 (arigatou gozaimasu). Cependant, le japonais est une langue très riche en nuances et en niveaux de politesse. Il existe donc plusieurs variantes de cette expression, selon le degré de formalité, la situation, et la personne à qui vous vous adressez.
Les kanji de « arigatou »(ありがとう)
Le mot arigatou s’écrit en kanji ainsi : 有り難い. À l’origine, ce mot était utilisé dans le bouddhisme. Le caractère 有 (aru) signifie « exister » ou « être ». Si vous avez déjà appris quelques kanji, vous reconnaîtrez sûrement le second caractère, 難, qui se trouve également dans l’adjectif japonaismuzukashii (難しい), qui signifie « difficile ».
Dans ce contexte, 難い se prononce gatou (難う) et conserve ce sens de « difficulté », car il provient d’une ancienne forme de l’adjectif japonais « difficile ».
En combinant les deux kanji, arigatou peut se traduire par :
« quelque chose de rare »
« difficile à obtenir »
« précieux »
Cela revient à dire que recevoir un service de quelqu’un est une chose rare et précieuse.
Aujourd’hui, arigatou est généralement écrit en hiragana : ありがとう. Dans un registre plus poli, on utilise la forme longue ありがとうございます (arigatou gozaimasu), que vous connaissez sans doute.
L’origine historique de « arigatou »(ありがとう)
Il est interessant d’étudier les kanji de arigatou, dont les racines historiques remontent au VIIIᵉ siècle.
Selon le dictionnaire national Kokugo, le mot arigatashi signifiait à l’origine « difficile à exister » ou « difficile à avoir ». Sa signification a ensuite évolué pour désigner « quelque chose de rare ». Ce n’est qu’au XVᵉ siècle que le mot a pris le sens actuel de « reconnaissance » ou « remerciement ».
La culture du remerciement au Japon
La culture japonaise et son mode de vie se reflètent fortement dans la langue. Selon la relation entre les interlocuteurs, on emploie différents pronoms, titres honorifiques et formes verbales, allant de l’extrêmement familier au très respectueux.
À l’image des excuses, exprimer un simple arigatou gozaimasu (ありがとうございます) est profondément lié à la culture japonaise, qui valorise l’humilité, la compassion et la pensée collective (groupthink). Au Japon, les individus tendent à privilégier l’intérêt du groupe auquel ils appartiennent (uchi) au détriment de leurs désirs personnels.
Fait ironique : dans un cadre professionnel japonais, un simple ありがとうございます peut parfois sembler froid ou insincère. Dans certains cas, il est nécessaire de répéter le remerciement pour exprimer sincèrement sa gratitude envers une faveur reçue.
Par exemple, au lieu de dire « Merci de votre patience », on dira plus volontiers « Désolé de vous avoir fait attendre si longtemps ». Cette formule ne vise pas forcément à demander pardon, mais sert de marque de politesse et d’humilité.
Au Japon, merci et désolé s’entremêlent naturellement — cela fait partie de la structure même de la société japonaise. Parfois, dans une réunion, la chaîne de remerciements peut sembler interminable, chacun y allant de son ありがとうございます pendant de longues minutes !
Dans les écrits formels ou les contextes professionnels, il est courant d’écrire le mot de deux façons :
有り難う
有難う Souvent suivi de ございます.
Cependant, il est tout à fait accepté — et même très courant — d’écrire la formule en hiragana : ありがとうございます.
Si vous souhaitez exprimer encore plus de gratitude, vous pouvez ajouter どうも ou おおきに (dialecte de Kansai) au début de l’expression.
Comment dire « merci » en japonais
Voici une liste des différentes façons de dire « merci » en japonais, classées selon leur degré de politesse, de la plus familière à la plus formelle.
1. サンキュー (sankyuu)
Cela vous paraît familier ? Le mot sankyuu est un emprunt direct à l’anglais « thank you ». L’alphabet japonais ne comportant pas de son th, il est remplacé par un s. (Vous pouvez consulter un tableau complet de conversion des sons anglais en japonais si besoin.)
Étant un mot d’origine étrangère, il s’écrit naturellement en katakana. Il existe généralement deux versions écrites :
サンキュー (avec un son « u » long à la fin)
サンキュ (avec un son « u » court)
Inutile de préciser que vous ne devez jamais utiliser サンキュー face à une personne plus âgée ou d’un rang social supérieur. Cette expression est réservée aux amis proches. Même envers un camarade ou un collègue du même âge, cela peut paraître trop familier et donner une mauvaise impression.
Cette manière décontractée de dire « merci » est surtout employée par les jeunes Japonais.
2. あざっす (azassu)
Contrairement à sankyuu, azassu est un argot japonais très populaire. Ce mot est en fait une version raccourcie et déformée de l’expression formelle ありがとうございます (arigatou gozaimasu). Essayez de prononcer rapidement cette phrase, vous verrez que certaines voyelles et consonnes se mangent… c’est ainsi qu’est né azassu.
C’est une expression d’argot souvent utilisée par les hommes japonais. Un peu comme le pronom ore qui donne un ton plus masculin et familier, あざっす a une nuance décontractée et légère.
On peut aussi l’écrire sous différentes formes selon la longueur du son que l’on veut accentuer :
あざーす
あざーっす
あざす
3. あざます (azamasu)
Voici une autre variante issue du même argot que ci-dessus. Azamasu est particulièrement populaire chez les jeunes Japonais.
D’autres variantes existent également :
ざす (zasu)
あざお (azao)
On remarquera que ces expressions sont aussi plus fréquemment utilisées par les hommes que par les femmes.
4. どうも (doumo)
Doumo et arigatou ont des niveaux de formalité assez proches et s’emploient surtout dans des situations informelles. Toutefois, doumo est plus souvent utilisé par des hommes et moins courant chez les femmes japonaises.
C’est une manière rapide et abrégée de remercier ses amis ou sa famille sans forcément recourir à des mots d’argot. À noter que, sur l’échelle de la politesse, doumo est encore plus familier que arigatou. Il vaut donc mieux réserver cette expression aux personnes de votre niveau social ou à des personnes plus jeunes ou moins gradées.
Cette formule est très décontractée. C’est même une façon plus légère de dire merci que arigatou. Elle s’utilise donc avec des amis proches, des membres de la famille comme des frères ou sœurs plus jeunes, ou dans des situations très courantes, par exemple avec un caissier ou le personnel d’un restaurant.
5. ありがとう (arigatou)
Arigatou est l’une des façons les plus courantes et typiques d’exprimer un merci amical et décontracté en japonais. C’est l’équivalent du mot anglais « thanks », ce qui signifie qu’il ne doit pas être utilisé dans des situations formelles.
Cela dit, comme arigatou est un peu plus poli que doumo, vous pouvez l’utiliser envers des personnes plus âgées que vous, comme votre senpai, vos parents ou même votre grand-père (ojiisan). Toutefois, ce qui compte avant tout, c’est la proximité relationnelle que vous avez avec la personne : si la relation est trop distante, mieux vaut opter pour une formule plus polie.
6. ありがとうございます (arigatou gozaimasu)
Ajouter gozaimasu rend l’expression plus formelle. Cela traduit une certaine distance sociale entre les interlocuteurs et c’est l’expression de remerciement standard dans les situations professionnelles. Elle marque le respect et la politesse. Vous pouvez aussi l’utiliser pour remercier des inconnus : un serveur, un employé de konbini, ou une connaissance éloignée.
À noter : il existe une différence entre le temps présent et le passé pour arigatou gozaimasu. Vous direz arigatou gozaimashita (ありがとうございました) si la personne vous a déjà rendu service.
Exemple : Si quelqu’un vous aide à porter vos bagages sur le moment, vous utiliserez la forme au présent :
荷物を持ってくれてありがとうございます。 Nimotsu o motte kurete arigatou gozaimasu. Merci de porter mes bagages.
Mais si cette personne vous a aidé hier, vous utiliserez la forme au passé :
昨日、荷物を持ってくれてありがとうございました。 Kinou, nimotsu o motte kurete arigatou gozaimashita. Merci d’avoir porté mes bagages hier.
7. どうもありがとうございます (doumo arigatou gozaimasu)
Dans cette expression, ajouter doumo au début permet d’insister davantage sur votre gratitude, tout en renforçant la politesse. Vous pouvez également utiliser l’expression hontou ni (本当に), qui signifie « véritablement » ou « sincèrement » :
本当にありがとうございます。 Hontou ni arigatou gozaimasu. Je vous remercie sincèrement.
8. 感謝します (kansha shimasu)
Cette expression est surtout utilisée dans les emails professionnels et davantage à l’écrit qu’à l’oral, car elle peut sembler rigide ou « démodée » si elle est prononcée. Le mot kansha (感謝) signifie « gratitude » ou « remerciement », tout comme les autres expressions précédentes, mais il dégage un ton plus formel et respectueux.
Dans les emails professionnels en japonais, il est courant de commencer par une phrase comme :
Grammaticalement, vous devez ajouter le verbe suru après le mot kansha. Pour aller encore plus loin dans la politesse (notamment en japonais des affaires), vous pouvez utiliser le keigo (langage honorifique) en ajoutant un préfixe honorifique au nom et en transformant suru en sa forme humble : itasu.
L’un des niveaux les plus élevés de politesse avec kansha est :
ご感謝いたします (gokansha itashimasu) Je vous exprime toute ma gratitude.
Exemple très formel :
心の底からご感謝いたします。 Kokoro no soko kara gokansha itashimasu. Je vous remercie du fond du cœur.
9. 恐れ入ります (osoreirimasu)
Enfin, voici l’une des expressions les plus formelles : 恐れ入ります (osoreirimasu). Elle s’utilise pour remercier quelqu’un qui a fait un effort ou s’est donné de la peine pour vous rendre service. Le mot osore (恐れ) exprime une forme de « crainte », « respect » ou « préoccupation ».
À l’image de sumimasen, 恐れ入ります ne se traduit pas littéralement par « merci » dans toutes les situations. Même les Japonais ne l’utilisent que rarement, car elle est réservée à des situations très formelles, comme lors de réunions ou d’échanges professionnels importants.
Vous pouvez voir cette phrase comme l’équivalent de « Auriez-vous l’amabilité de… » en français.
Contrairement à sumimasen, qui peut aussi être utilisé pour s’excuser, osoreirimasu est exclusivement réservé pour exprimer votre gratitude envers les efforts d’autrui.
Exemple :
恐れ入りますが、私の手紙を出してくれませんか? Osoreirimasu ga, watashi no tegami o dashite kuremasen ka ? Auriez-vous l’amabilité de poster ma lettre ?
Comment utiliser sumimasen et arigatou selon le contexte
Si tu vis au Japon, tu remarqueras vite que sumimasen pourrait bien être le mot préféré des Japonais ! C’est parce que すみません est un mot polyvalent qui a plusieurs significations et qui s’utilise dans de nombreux contextes sociaux. Il peut être employé dans des situations où l’anglais utiliserait « excuse me » (excusez-moi) ou « sorry » (désolé).
Exemples :
遅くてすみませんでした! Osokute sumimasen deshita ! Désolé d’être en retard !
すみません、通ります。 Sumimasen, toorimasu. Excusez-moi, je passe.
Au-delà de ces deux usages, sumimasen peut aussi servir à remercier quelqu’un qui s’est donné du mal pour vous aider. Imaginez l’expression comme : « Désolé de vous déranger » ou « Désolé pour le dérangement ». Autrement dit, lorsque vous remerciez quelqu’un, vous reconnaissez aussi que vous lui avez demandé un effort ou que vous l’avez importuné.
C’est pour cela qu’au Japon, il n’est pas rare d’utiliser sumimasen à la place de arigatou. Par exemple, si quelqu’un vous tient la porte ou l’ascenseur, vous direz sumimasen plutôt que arigatou : Dans ce cas, cela revient à dire : « Désolé (mais merci) d’avoir retenu l’ascenseur pour moi ».
Toutefois, sumimasen et arigatou ne sont pas forcément exclusifs. Tu peux tout à fait les combiner ensemble dans une même phrase pour exprimer une gratitude plus nuancée.
Parfois, on ajoute aussi wazawaza (わざわざ), qui signifie « exprès » ou « volontairement », pour insister sur le fait que la personne s’est donné de la peine pour toi.
Exemples :
わざわざ、すみません。ありがとうございます。 Wazawaza, sumimasen. Arigatou gozaimasu. Merci beaucoup de vous être donné tant de mal, désolé(e) !
どうも、すみません、ありがとうございました。 Doumo, sumimasen, arigatou gozaimashita. Merci beaucoup et désolé encore une fois !
Conclusion
Voilà donc un guide rapide pour comprendre comment les Japonais utilisent toutes ces variations pour exprimer leur gratitude selon la situation. Prête une attention particulière au contexte dans lequel un « merci » est prononcé, et tu développeras peu à peu une meilleure sensibilité culturelle pour employer correctement les formules de remerciement en japonais.
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Quelle est la façon la plus courante de dire merci en japonais ?
La manière la plus courante est 「ありがとうございます」(arigatou gozaimasu). C’est une formule polie et adaptée à la plupart des situations, surtout lorsque vous parlez à des personnes que vous ne connaissez pas bien.
Que signifie ありがとう (arigatou) ?
「ありがとう」(arigatou) est une manière décontractée de dire « merci » en japonais. Elle s’utilise généralement entre amis, en famille ou avec des personnes du même âge ou d’un statut inférieur.
Quelle est la différence entre arigatou et arigatou gozaimasu ?
Arigatou est une formule informelle adaptée aux situations décontractées, tandis que arigatou gozaimasu est plus polie et respectueuse. Il est préférable d’utiliser la version polie lorsque vous vous adressez à quelqu’un de plus âgé, dans un cadre professionnel ou avec des inconnus.
Est-ce impoli de dire seulement arigatou ?
Non, ce n’est pas impoli si vous parlez avec des amis ou des personnes que vous connaissez bien. En revanche, dans des contextes plus formels ou avec des personnes que vous ne connaissez pas, il est recommandé d’utiliser arigatou gozaimasu pour rester poli et respectueux.
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Le deck Katakana Reading Practice est une introduction idéale au katakana pour les débutants. Il comprend plus de 1 000 mots et expressions en katakana, principalement des mots étrangers, noms propres, onomatopées, noms d’animaux, et marques célèbres.
Beaucoup d’utilisateurs soulignent une meilleure fluidité en lecture et écriture du katakana après avoir utilisé ce deck.
Certains apprenants anglophones peuvent penser que le katakana est facile car il reprend des mots anglais. Pourtant, les prononciations peuvent être surprenantes et ne pas toujours ressembler à l’original.
Téléchargez le deck sur le site d’Anki, importez-le dans votre application, et commencez à apprendre. Vous pouvez modifier les cartes selon vos besoins.
KanjiDamage est le deck ultime pour apprendre les kanji avec la méthode KanjiDamage, qui consiste essentiellement à utiliser des moyens mnémotechniques pour les retenir. Ce deck Anki contient plus de 1 700 kanji à apprendre.
Vous y trouverez un mélange de kanji courants et moins courants, disposés dans un ordre aléatoire. L’ordre des traits pour écrire chaque kanji est également inclus.
Si vous préférez apprendre les kanji en fonction de leur fréquence d’utilisation, consultez un autre deck Anki du même créateur, qui est une version réorganisée de celui-ci. Il classe les caractères par fréquence d’apparition, vous permettant d’apprendre d’abord les plus fréquents, puis les moins utilisés.
Visitez le site Anki pour télécharger le deck sur votre ordinateur. Une fois importé, les flashcards s’afficheront dans l’application. Vous pouvez les modifier en cliquant sur le bouton « edit ».
Vous cherchez un deck complet pour apprendre absolument tout ce qu’il y a à savoir sur les kanji ? Le deck All in One Kanji est l’un des plus complets et instructifs disponibles. Il est idéal pour pratiquer l’écriture des kanji tout en approfondissant leur signification et leurs lectures.
Ce deck est bien structuré. Avec plus de 10 000 flashcards, vous apprendrez les lectures onyomi, kunyomi, nanori, le nombre de traits et leur ordre d’écriture.
Il explique également comment chaque kanji a évolué depuis ses racines chinoises jusqu’à devenir un caractère japonais.
Ce deck Anki, créé par Tofugu, vous aide à apprendre les hiragana grâce à des moyens mnémotechniques. Avec ce deck, vous pourrez maîtriser les bases de la prononciation japonaise.
Ce second deck de Tofugu vous permet d’apprendre les katakana en utilisant aussi des moyens mnémotechniques. Il vous initie aux bases de la prononciation japonaise.
Grâce à des mnémoniques descriptifs et visuels, l’apprentissage devient ludique et interactif – une méthode parfaite pour mémoriser ! Nous recommandons également de télécharger le tableau des hiragana de Tofugu comme référence avant de commencer ce deck.
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Il existe quatre salutations japonaises de base, ou aisatsu (挨拶), utilisées à différents moments de la journée. Si vous commencez à apprendre le japonais, ce sera sûrement la première chose que l’on vous enseignera. En effet, vous ne voudriez pas dire « Bonjour ! » en pleine nuit ou « Repose-toi bien ! » en réveillant un ami le matin.
Les salutations sont toujours parmi les premiers mots ou expressions que l’on apprend dans une nouvelle langue. Dans cet article, vous allez découvrir les principales salutations japonaises.
Ohayou Gozaimasu : Bonjour en japonais
Avoir une bonne maîtrise des salutations est essentiel pour nouer de bonnes relations au Japon. Que ce soit pour un court séjour ou une expatriation plus longue, savoir saluer en japonais est clé pour faire bonne impression.
Savoir dire bonjour le matin est particulièrement important dans un environnement professionnel japonais. La première impression dépend en grande partie de cette salutation.
Une expression japonaise encourage à prendre l’initiative :
相手より先に! Aite yori saki ni! Soyez le premier à saluer!
Même si vous ne remarquez pas toujours un collègue dans un couloir ou un ascenseur, si vous êtes le premier à le voir, il est d’usage de le saluer immédiatement, peu importe son statut : supérieur hiérarchique ou stagiaire. Même si la personne ne répond jamais, vous devez faire l’effort de dire bonjour.
À un collègue: ○○さん、おはよう。 ○○ san, ohayou.
À un supérieur: ○○課長、おはようございます。 ○○ kachou, ohayou gozaimasu.
Autres usages de « Ohayou Gozaimasu »
Ohayou gozaimasu n’est pas seulement une façon de dire bonjour : cela crée une certaine proximité et amorce la conversation. Le sujet le plus courant est la météo du jour ou la saison en général.
Les Japonais aiment aussi discuter de sport, d’actualités ou d’événements culturels. Ces échanges légers sont très utiles pour créer une atmosphère agréable. Le sujet importe moins que la volonté d’entrer en contact avec l’autre.
Exemples de conversations quotidiennes:
おはようございます。今日も朝から暑いですね。 Ohayou gozaimasu. Kyou mo asa kara atsui desu ne. Bonjour. Aujourd’hui aussi il fait chaud dès le matin.
おはようございます。昨日のサッカー見ました?すごかったですね。 Ohayou gozaimasu. Kinou no sakkaa- mimashita? Sugokatta desune. Bonjour. Avez-vous vu le match de foot hier soir ? C’était incroyable.
おはようございます。昨日はどうもご馳走様でした。 Ohayou gozaimasu. Kinou ha doumo gochisousamadeshita. Bonjour. Merci encore pour le repas d’hier.
Une salutation japonaise pour le milieu professionnel
Au Japon, surtout au travail, les salutations ont une importance capitale. Si vous manquez de dire ohayou gozaimasuà un client ou à une personne liée à votre entreprise, cela peut nuire à votre image. Les japonais penseront : « Cet employé ne nous a pas correctement salués. » Leur opinion sur l’ensemble de l’entreprise en pâtira !
Autre fait intéressant : les Japonais s’inclinent même au téléphone, alors que leur interlocuteur ne les voit pas. Ce geste exprime le respect et le souci de faire bonne impression.
Exemple d’échange :
A: おはようございます。 A: Ohayou gozaimasu. A: Bonjour.
B: おはようございます。 B: Ohayou gozaimasu. B: Bonjour.
A: 今日はいい天気ですね. A: Kyou wa ii tenki desune. A: La météo d’aujourd’hui est bonne n’est-ce pas?
B: そうですね。いい天気ですね。 B: Sou desune. Ii tenki desune. B: Oui, il fait bon.
Particularité : おはようございます peut être utilisé à toute heure de la journée dans certains environnements de travail (par exemple dans un baito = job étudiant).
En effet, lorsque vous commencez votre journée de travail, vous dites おはようございます, même si vous travaillez de nuit.
Pourquoi ? Parce que cela signifie simplement que vous voyez la personne pour la première fois de la journée.
Un autre point que vous avez peut-être remarqué ou entendu, c’est que les Japonais s’inclinent même lorsqu’ils sont au téléphone et que leur interlocuteur ne peut pas les voir. S’incliner n’est pas seulement une habitude, c’est aussi une manière de montrer du respect en toutes circonstances et de donner une bonne impression à ceux qui les entourent.
Konnichiwa : Bonjour / Bon après-midi en japonais
Que veut dire こんにちは (Konnichiwa) ?
Vous avez sûrement déjà entendu konnichiwa (こんにちは), une des premières salutations que l’on apprend.
こんにちは est souvent traduit par « bonjour » ou « salut ». Mais à l’origine, cela signifie « bon après-midi ».
Le mot est généralement écrit en hiragana, mais en kanji cela donne 今日は, qui peut aussi se lire kyou wa : « Aujourd’hui est… »
Autrefois, les gens se saluaient ainsi:
今日は天気が良いですね Kyou wa tenki ga ii desune. Aujourd’hui, il fait beau n’est-ce pas?
今日は暑いですね. Kyou wa atsui desune. Aujourd’hui, il fait chaud.
Peu à peu, la fin de la phrase a disparu pour ne garder que こんにちは (konnichiwa).
Parfois, les gens demandent : « Quelle est la nature grammaticale de こんにちは ? »
Est-ce un nom ? Les salutations, y compris おはよう (ohayou), こんにちは (konnichiwa) et こんばんは (konbanwa), ne sont pas des noms, mais des interjections. Les interjections sont des mots que nous utilisons lorsque nous sommes émus ou que notre cœur est touché.
Par exemple, lorsqu’une personne reçoit un bouquet de fleurs, elle pourrait dire :
わぁー。きれいだなぁ。 Waa! Kirei da naa! Waa, c’est magnifique!
Autre exemple : une personne se rend compte qu’elle a oublié ses devoirs:
あっ。宿題を忘れた。 Aa, shukudai o wasureta. Ah, j’ai oublié mes devoirs !
Dans les deux cas, les expressions わぁー (waa) et あっ (aa) sont des interjections. De la même façon, les salutations traduisent l’émotion et le désir spontané de communiquer lorsque nous rencontrons quelqu’un.
Konbanwa : Bonsoir en japonais
Ressemblant à こんにちは (Konnichiwa), こんばんは (Konbanwa)est la salutation japonaise qui signifie « Bonsoir ». Selon la NHK, la chaîne publique japonaise, こんばんは s’utilise lorsque le soleil est couché et qu’il fait sombre : vers 19 h en été, et environ 17 h 30 en hiver.
Comment utiliser cette salutation japonaise ?
L’usage de konbanwa est en réalité similaire à celui de ohayou gozaimasu le matin. En plus d’être une salutation simple, c’est une excellente façon d’engager une petite conversation amicale avec vos amis.
Par exemple:
こんばんは!今日のテストどうだった? Konbanwa! Kyouno testo doudatta? Bonsoir ! Comment s’est passé ton test aujourd’hui ?
こんばんは!今日は一日中雨降っていましたね。 Konbanwa! Kyouwa ichinichijuu amefutteimashitane Bonsoir ! Il a plu toute la journée, n’est-ce pas ?
こんばんは!飲みにいきましょう! konbanwa! Nomini ikimashou! Bonsoir ! Allons boire un verre !
Oyasumi : Bonne nuit en japonais
En général, l’expression japonaise pour dire « bonne nuit » est おやすみ (oyasumi). Cependant, selon les situations, il peut être inapproprié de l’utiliser.
Cas 1 : Lorsque quelqu’un va se coucher
De la même façon que vous dites « bonne nuit » à un ami (ou à une personne proche) lorsqu’il va se coucher, vous pouvez utiliser oyasumi pour lui souhaiter une bonne nuit. Vous pouvez également dire oyasumi à un ami lorsque vous allez vous coucher. Exemple : lorsque vous êtes au téléphone avec votre ami :
そろそろ寝(ね)るね、おやすみ。 Sorosoro nerune, oyasumi Je vais bientôt dormir, bonne nuit.
おやすみ。 Oyasumi Bonne nuit.
Lorsque votre ami vous dit oyasumi, vous devez également lui répondre oyasumi.
Si vous souhaitez dire bonne nuit à une personne de rang supérieur, il convient d’utiliser la forme plus polie : おやすみなさい (oyasuminasai), plutôt que oyasumi.
Exemple : lors d’un déplacement professionnel avec votre supérieur, qui s’apprête à aller se coucher :
Votre supérieur hiérarchique:
今日はちょっと疲れたから、先に寝るよ, おやすみ。 Kyouwa chotto tsukaretakara, sakini neruyo, oyasumi Je suis un peu fatigué aujourd’hui, je vais me coucher en premier. Bonne nuit.
Vous :
はい, おやすみなさい! Hai, oyasuminasai. Oui, bonne nuit!
Cas 2 : Lorsque quelqu’un rentre tard chez lui
Oyasumi peut également s’utiliser lorsqu’il est tard le soir et que quelqu’un quitte le groupe pour rentrer chez lui. Par exemple, lorsque vous et vos collègues prenez le dernier train et qu’un ami descend avant vous :
今日は一日お疲れ様でした、おやすみなさい。” Kyowa ichinichi otsukaresamadeshita, oyasuminasai Merci pour votre travail aujourd’hui, bonne nuit.
Cependant, sauf si vous êtes très proche de la personne, évitez d’utiliser oyasumi seul avec un supérieur, car cela peut paraître impoli. Utilisez plutôt la forme plus formelle おやすみなさい.
l est rare que おやすみなさい soit considéré comme inapproprié pour un supérieur, mais techniquement おやすみなさい n’appartient pas à la catégorie du keigo (langage honorifique japonais).
Pour éviter tout risque, vous pouvez aussi utiliser l’une de ces deux formules alternatives :
お疲れ様でした Otsukaresamadeshita. Merci pour votre travail.
今日はありがとうございました Kyouwa arigatougozaimashita. Merci pour aujourd’hui.
FAQ
Quelles sont les quatre salutations japonaise ?
Les quatre salutations japonaise sont “Ohayou gozaimasu” (Bonjour (le matin)), “Konnichiwa” (Bonjour), et “Konbanwa” (Bonsoir)
Que signifie Otsukaresama en français ?
お疲れ様, ou “otsukare sama”, signifie “Merci pour votre dur travail aujourd’hui”.
Comment dire bonjour le matin en japonais ?
Ohayo (おはよう) signifie “Bonjour” le matin en japonais.
Quelle est la différence entre Konbanwa et Oyasumi?
Konbanwa est utilisé pour saluer quelqu’un à tout moment de la soirée, mais oyasumi est exclusivement employé au moment d’aller se coucher.
Que signifie konnichiwa en japonais?
En japonais, konnichiwa signifie “bonjour”. C’est utilisé lors d’une rencontre avec quelqu’un pendant la journée jusqu’en soirée.
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Disponibilité:
Lundi à Vendredi, de 9h à 21h
Niveaux:
Tous les niveaux
Taille de la classe:
Max 8 élèves
Lieu:
Écoles de langues Minato et Yokohama
Durée:
Selon le cours
Fréquence:
50, 100 ou 150 minutes par jour
Objectifs:
Lecture, expression orale, écriture, et écoute
À noter: Il existe une restriction d’âge pour chaque type de cours.
Cours de Japonais Semi-Intensifs pour Enfants
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・Horaires des cours: Du 4 mars au 3 juin 2025 ; Mardi et Jeudi, de 17h10 à 19h00
・Durée des cours: 2 fois par semaine ; 100 minutes
・Pour les élèves âgés de: 11-15 ans
・Lieu de l’école: Écoles de Minato et Yokohama
Frais de cours pour les cours Lite-intensifs pour enfants
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Cours de Japonais Saisonniers pour Enfants
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Informations sur le cours de Japonais Saisonniers
・Horaires des cours: À annoncer ・Durée des cours: 5 jours par semaine ; 3 heures par jour ・Pour les élèves âgés de: 8 ans et plus ・Lieu de l’école: École de Yokohama
・Horaires des cours: À annoncer ・Durée des cours: 5 jours par semaine ; 5 heures par jour ・Pour les élèves âgés de: 8 ans et plus ・Lieu de l’école: Écoles de Minato et Yokohama
・Horaires des cours: À annoncer ・Durée des cours: 5 jours par semaine ; 3 heures par jour ・Pour les élèves âgés de: 8 ans et plus ・Lieu de l’école: École de Minato
Frais de cours pour les cours saisonniers pour enfants
Des frais d’inscription de 10 000 ¥ sont requis pour les nouveaux étudiants.
Session d’été
Sessions d’hiver et de printemps
Plan de départ
75,000
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Plan intermédiaire
141,670
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Plan avancé
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Plan de départ
45,000
1 semaine
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Plan intermédiaire
85,000
2 semaines
Plan avancé
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3 semaines
Cours Privés de Japonais pour Enfants
Nos cours privés sont adaptés aux besoins et aux horaires de chaque apprenant, quel que soit son niveau.
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Mon enfant peut-il s’inscrire à tout moment ?
Cela dépend du cours. Les cours saisonniers ne sont disponibles que pendant certaines périodes. Pour les cours Lite-intensive ou les leçons privées, merci de remplir notre formulaire de contact afin que nous puissions vous envoyer les détails et le calendrier.
Les cours conviennent-ils aux enfants sans aucune connaissance du japonais ?
Oui. Nos cours pour enfants sont parfaitement adaptés aux débutants. Ils commencent par les bases : l’introduction des hiragana, katakana, du vocabulaire simple et des structures de phrases essentielles. Que votre enfant soit totalement débutant ou ait déjà quelques notions, nos cours sont conçus pour répondre à tous les niveaux.
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À propos des Cours de Japonais à Temps Partiel
Idéals pour les adultes occupés à Tokyo ou Yokohama, nos cours de japonais à temps partiel flexibles vous permettent d’apprendre à votre propre rythme avec des professeurs natifs. Étudiez dans des classes de petit groupe pendant la journée, le soir ou le week-end. Bénéficiez d’une attention personnalisée et améliorez vos compétences en expression orale et en écoute. Ces cours sont parfaits pour se concentrer sur des sujets comme le japonais des affaires, la Grammaire ou l’oral.
Disponibilité:
Du lundi au vendredi, de 9h à 21h, samedi de 10h à 17h
Niveaux:
Tous les niveaux
Taille de la classe:
Maximum 8 étudiants
Lieu:
Écoles de langues à Tokyo et Yokohama
Fréquence:
Dépend de votre rythme d’étude
Durée:
50 ou 100 minutes par jour
Objectif:
Conversation
À noter: Au niveau débutant, les leçons suivent un programme structuré.
Cours de Japonais à Temps Partiel – Niveau Débutant
Idéals pour les apprenants de japonais avec peu ou pas d’expérience.
Dans les cours de japonais à temps partiel pour débutants, vous apprendrez les bases, y compris le hiragana et le katakana, ainsi que la grammaire simple, les conjugaisons, le vocabulaire et les expressions qui vous permettront de participer à des conversations quotidiennes.
Cours de Japonais à Temps Partiel – Niveau Intermédiaire
Parfaits pour les apprenants ayant déjà de l’expérience en japonais.
Dans les cours de japonais à temps partiel pour niveaux intermédiaires, vous élargirez votre vocabulaire et apprendrez diverses phrases et règles grammaticales pour améliorer vos compétences en communication. Vous aborderez également plusieurs sujets pour pratiquer vos compétences orales en japonais.
Pour les apprenants expérimentés en japonais souhaitant perfectionner leurs compétences.
Dans les cours de japonais à temps partiel pour niveaux avancés, vous apprendrez du vocabulaire avancé, de la grammaire et des expressions qui vous permettront de participer à des discussions approfondies et de développer vos capacités de pensée critique en japonais.
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Disponibilité:
Du lundi au vendredi, de 9h à 21h, samedi de 10h à 17h
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FAQ
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Proposez-vous des cours en soirée ?
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Puis-je commencer les cours à tout moment ?
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Proposez-vous des cours intensifs ?
Oui ! Coto Academy propose également des cours intensifs pour ceux qui souhaitent progresser rapidement. Ces cours mettent l’accent sur la conversation, la grammaire et les kanji, avec des leçons interactives.
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Oui, Coto Academy propose des cours du soir dans nos écoles de Tokyo et Yokohama, ainsi qu’en ligne. Ils sont idéaux pour les personnes ayant des engagements en journée.
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Oui. Nos cours sont ouverts aux résidents au Japon, y compris ceux avec des visas de travail, de conjoint, d’étudiant, de dépendant ou de long séjour.
Vos cours conviennent-ils aux apprenants avancés ?
Oui. Nous avons des cours pour les apprenants intermédiaires et avancés, notamment des cours de japonais des affaires ou axés sur la conversation.
À qui s’adressent les cours à temps partiel de Coto Academy ?
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À propos des Cours Intensifs de Japonais
Ce cours est parfait pour les personnes vivant à Tokyo ou Yokohama, mais aussi pour les visiteurs à court terme ou les touristes souhaitant apprendre le japonais à temps plein. Nos cours offrent des tailles de classes réduites et sont dispensés par des professeurs natifs, créant ainsi un environnement d’apprentissage interactif et motivant. Les étudiants peuvent pratiquer toutes les compétences essentielles en japonais.
À noter: Des exigences spécifiques au programme s’appliquent uniquement au niveau débutant.
Cours intensifs de japonais pour tous les niveaux
Pour les débutants, intermédiaires ou avancés, nos cours intensifs de japonais sont structurés en fonction des niveaux du JLPT, offrant une expérience d’apprentissage encadrée et progressive.
Cours Intensifs de Japonais – Niveau Grand Débutant
Pour les personnes sans expérience en Japonais.
Les étudiants commenceront par apprendre les bases de l’écriture japonaise, en se concentrant sur le katakana et le hiragana. Ensuite, ils participeront à des exercices pratiques pour apprendre une variété de phrases simples couramment utilisées dans les conversations quotidiennes.
Convient aux apprenants ayant peu d’expérience en japonais.
Les étudiants apprendront les bases de la lecture, de l’écoute, de l’expression orale et de l’écriture en japonais. À la fin du cours, ils se sentiront confiants pour se présenter, poser des questions simples et participer à des interactions quotidiennes.
Cours Intensifs de Japonais – Niveau Intermédiaire
Pour les apprenants ayant une certaine expérience du japonais et souhaitant améliorer leurs compétences.
Les étudiants apprendront à combiner les phrases pour une expression plus claire et élargiront leur reconnaissance des kanjis pour comprendre des textes plus complexes. L’objectif principal est d’améliorer les compétences en conversation pour des échanges plus naturels et fluides dans des situations réelles.
Conçu pour les apprenants avancés cherchant à perfectionner leurs compétences en japonais.
Les étudiants apprendront des phrases complexes, du vocabulaire avancé et une gamme plus large de caractères kanji, améliorant ainsi leur lecture et écriture. Le cours couvre des structures grammaticales complexes et des nuances culturelles, permettant une expression plus naturelle dans divers contextes sociaux et professionnels.
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5.0
Timothy
Le personnel sympathique et l'environnement relaxant font de cet endroit un excellent lieu d'étude. J'apprécie particulièrement les cours de conversation, qui m'aident avec le japonais de la vie réelle.
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Ynez
J'ai trouvé les interactions réelles avec les enseignants très utiles et j'aimerais avoir plus d'occasions de pratiquer.
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FAQ
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Elle varie chaque mois, mais un niveau dure généralement 4 semaines. Consultez notre site pour les horaires à jour.
Puis-je choisir un cours le matin ou l’après-midi ?
Oui, en fonction de votre niveau, les cours peuvent être suivis le matin ou l’après-midi.
Comment m’inscrire à un cours chez Coto Academy ?
Remplissez notre formulaire de contact pour planifier une consultation gratuite avec l’un de nos conseillers pédagogiques. Un test de niveau sera effectué pour trouver le cours adapté à votre profil.
Qui sont les étudiants de Coto Academy ?
Nos étudiants sont des résidents étrangers au Japon : professionnels, personnes en reconversion, conjoints de salariés, etc. Ils viennent du monde entier, notamment des États-Unis, du Canada, de la France ou de l’Allemagne, avec des âges allant de la vingtaine jusqu’à 70 ans. Nous accueillons également des visiteurs de courte durée.
Comment les niveaux sont-ils structurés ?
Les cours sont divisés en niveaux débutant (JLPT N5–N4), intermédiaire (N3) et avancé (N2). Chaque niveau dure environ 4 semaines.
Quel est le meilleur cours de japonais à temps plein à Tokyo ?
Coto Academy est reconnue comme l’une des meilleures écoles de japonais à Tokyo, notamment pour ses cours intensifs.